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GRASSE VINTAGE Les photos anciennes de Grasse

Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve

Un nouveau livre de souvenirs des grassoises et des grassois vient d’être publié. Il s’agit de Témoignages Tome2 de Grasse-vintage. Tout comme pour le tome 1, il s’agit d’histoires vraies, d’histoires de vies ou d’anecdotes vécues que les auteurs ont souhaité partager pour que notre bon vieux temps ne s’efface pas. Ce livre est notre histoire. Peut-être l’avez-vous acheté et j’espère que vous avez eu du plaisir à sa lecture. Si par contre vous ne vous l’êtes pas encore procuré, je vous informe qu’il est disponible à la librairie Arts et Livres au Plan de Grasse ou bien chez Tac-Motifs à la rue Marcel Journet à Grasse ou encore au Petit Kiosque de la place de la Foux à Grasse, à Librairie Expression Châteauneuf, Azur Secrétariat à Peymeinade et à la Librairie-Presse à Cabris. Il est aussi possible de vous l’expédier. Ce tome 2 est un vrai régal et peut faire un merveilleux cadeau de Noël pour toute une génération. Cordialement… André Raspati

 

 

 

Le superbe micocoulier de la Porte Neuve. Il disparaîtra en 1955, remplacé par un cyprès

 

Jour de foire à la Porte Neuve vers 1965/75 - Photo Alain Sabatier

 

V01.05

 

LES REMPARTS ET LA PORTE NEUVE

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La ville de Grasse était ceinturée jusqu'au XVe siècle par des remparts de protection. Les entrées et sorties de la ville s'effectuaient par différentes "Portes" tout autour de la cité. La PORTE NEUVE était l'une de ces portes. Elle permettait l'accès à la ville de Grasse par le sud et la sortie vers les campagnes.

Les remparts ont connu plusieurs vagues d’extension. L’habitat se développe à l’intérieur de ceux-ci. Périodiquement, la pression démographique devient trop forte et ces remparts sont agrandis afin de ceinturer les habitations construites en bordure de la cité, dans ce que l’on appelle des "faubourgs". Mais face à l’expansion démographique incessante, les remparts ne pourront plus assurer la défense de tous les logements qui se développent petit à petit au pied de cette ceinture murale. Ce système de défense devient obsolète. Les remparts sont détruits, les fossés sont comblés et deviennent des chemins carrossables. A l’extérieur de ceux-ci, la ville continue de s’étendre…

 

 

 

Plans et croquis des anciens remparts de Grasse. En bas à droite, l'espace de la Place Neuve en dessous des remparts.

 

Photo Christophe Brun publiée sur Facebook en 2019

 

 

 

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Ce blog a été réalisé par : andre.raspati@gmail.com

Avec mes plus vifs remerciements aux différentes personnes qui m'ont aidé à réaliser ce blog "Grasse-Vintage" et tout particulièrement :

  • La Région PACA qui m'a aimablement autorisé à utiliser les textes et les photos publiés dans l'inventaire général du Patrimoine Culturel : https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=%22parfumerie+de+Grasse%22&type=Dossiers
  • Le centre de Documentation iconographique, documentaire et historique produite par les services patrimoniaux de la DRAC PACA et réalisée par Gabriel BENALLOUL -  http://patrimages.culture.fr/
  • La Maison du Patrimoine de la Ville de Grasse dont la responsable Laurence ARGUEYROLLES m’a permis d’accéder à de très nombreuses informations - animation.patrimoine@ville-grasse.fr 
  • Les Archives Communales de la Ville de Grasse qui m'ont aidé dans mes recherches et permis d'accéder à de très nombreuses informations - http://www.ville-grasse.fr/archives_communales.html   
  • Corinne JULIEN-BOTTONI qui m'a aimablement autorisé à publier ses articles de l'histoire de Grasse qui paraissent régulièrement dans Nice-Matin 
  • Robert VERLAQUE, professeur, historien, auteur d'ouvrages sur Grasse (Grasse du Moyen-Age à la Belle-Epoque, Grasse au XX ème siècle), Président du Cercle Culturel de Grasse qui m'a transmis de nombreux documents
  • Alain SABATIER, photographe qui m'a autorisé à utiliser ses clichés pour illustrer mes blogs
  • Toutes les personnes qui m'ont prêté leur collection de cartes postales, de photos ou de documents. 
  • Toutes les personnes qui publient ou qui ont publié sur les réseaux sociaux des documents ayant un lien avec mon blog

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Bibliographie

  • "Contribution à la connaissance de la ville de Grasse" de Joseph FARNARIER
  • "Le Pays de Grasse" de Hervé de FONTMICHEL
  • "Grasse, Portrait d'une ville provençale" d'Alain SABATIER et Lucien AUNE
  • "Grasse, dans les bouleversements du XXe siècle" de Robert VERLAQUE

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Si un document qui figure dans ce blog n'est pas libre de droit merci de me le signaler

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LA PLACE NEUVE, UNE ANCIENNE CARRIERE

création d'une place neuve (nouvelle) dans les fossés des remparts​​​​​​

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Publié dans Nice-Matin - Août 2000 - Document Robert Raspati

 

 

L'espace de la Place Neuve était dans le temps située en dessous des remparts, donc hors la ville. C'était un lieu de passage et aussi une des deux petites carrières assez proches de la cité ; l'autre se trouvait au nord, du côté de Saint-Hilaire. La carrière de la Place Neuve a été interdite en 1739 et les remparts ayant été détruits, l'espace fut transformé en place de balades et d'agrément. S'agissant de la dernière place créée à Grasse à cette époque, elle fut appelée : Place Neuve, donc la toute dernière. Elle changea de nom pour devenir la Place César Ossola par décision du conseil municipal du 29/11/1918. Le maire était alors Jean Ossola, son fils...

Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve

LA PLACE NEUVE DEVIENT LA PLACE CÉSAR OSSOLA

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Il faut rapprocher de cette Place Neuve deux grandes figures de Grasse, César Ossola et son fils Jean, hommes politiques très importants au début du XXe siècle (César Ossola fut député et Jean, fut maire (de 1914 à 1922), député et même ministre des Gouvernements Painlevé et Briand ; engagés au plus haut niveau de l’État). En seulement deux générations, ils se sont hissés au sommet de la hiérarchie sociale et le couronnement de cette ascension est symbolisé par le mariage du fils Jean avec la nièce et héritière de Guy de Maupassant en 1906. Jean Ossola gèrera alors la propriété littéraire du grand romancier disparu.

Mais cette destinée nationale avait commencé au niveau local, à Grasse, lorsque César, le père de Jean,  intègre, par son mariage en 1873, une ancienne lignée de parfumeurs. Faisant preuve de talent commercial, César Ossola développe alors avec sa belle-famille un baume, le "Cosmétique hygiénique du marcheur" que l'entreprise fournira à l'armée et à la Marine françaises. Il réussit à faire intégrer au paquetage de chaque nouveau soldat une boite  de cette pommade Ossola qu'il fallait se passer sur les parties du corps qui allaient faire un effort comme par exemple le dessous des pieds pendant les marches. Et ce produit était efficace. Cette magnifique opération commerciale apporte un second souffle à l’entreprise familiale et lui donne l’impulsion nécessaire à son développement.

http://Document : Association de sauvegarde du patrimoine écrit des Alpes Maritimes, dans son dernier ouvrage « Grasse et les Ossola, Une dynastie de notables au service de la cité et de la France sous la IIIe République ».

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LA PARFUMERIE JEAN COURT OSSOLA

Cette activité de parfumerie et de cosmétique aura pour cadre différents bâtiments situés sur la "PlaceNeuve" et qui donnent sur la rue du Sault en dessous.

 

Parfumerie J. Court Ossola

La société J. Court semble être la première société de parfumerie à avoir exploité une usine dans ces locaux qui s'ouvrent du côté de la rue du Saut en dessous de la Place Neuve. Cette implantation date sans doute de 1857. Les bâtiments où sont installés ces ateliers industriels sont plus anciens puisqu'ils sont reportés sur les plans cadastraux de 1809. La fabrique se trouve dans les parties basses de deux immeubles, eux-mêmes compris dans un îlot de trois immeubles ; l'immeuble nord n'est pas concerné par cette aventure de parfumerie. La reconstruction du bâtiment sud date très certainement de la fin du 19e siècle, moment où y est installé le nouveau bureau de poste de la ville. Celui-ci occupe les étages supérieurs, tandis que les deux niveaux de soubassement conservent encore quelques années leur attribution industrielle. A la fin des années 1870, la société J. Court cesse son activité. La partie nord de la fabrique, faite de caves, est louée à la société de parfumerie Tombarel Frères jusque dans les années 1890.

 

Parfumerie J. Court Ossola

A la même époque, la marque J. Court est reprise par César Ossola. Celui-ci baptise son entreprise Jean Court Ossola, et reprend l'activité dans la partie sud de l'usine, sous le bureau de poste. C'est ici et à ce moment là que cette nouvelle société se spécialise avec un grand succès dans la production de ce fameux baume apaisant vendu à l'armée française. (Voir plus de détails dans l'article : Grasse et les parfumeries disparues). Alors que la partie supérieure de l'usine semble avoir perdu tous ses liens avec la parfumerie dans les années 1900, la partie sud conserve son attribution jusque dans les années 1920. Une fromagerie reprend l'ensemble du site durant les années 1940 (source orale). Actuellement le site est reconverti en logement.

http://dossiersinventaire.maregionsud.fr/gertrude-diffusion/dossier/maison-puis-parfumerie-jean-court-puis-jean-court-ossola-puis-fromagerie-industrielle-actuellement-immeuble-a-logements/24a328dd-e845-4c73-9fac-e1835c84c309

Au niveau du rez-de-chaussée de ces bâtiments sur la Place Neuve et sur les étages au dessus s'installera l'Hôtel des Postes de Grasse (fin XIXe) puis un bazar sous l'enseigne de "Babali" et qui finalement se transforme en 2017 en Poste de la Police Municipale de Grasse.

De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale
De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale

De la parfumerie en passant par l'Hôtel des Poste, la boutique Babali vers le poste de la Police Municipale

Il y avait à cet endroit un lavoir construit en 1891 et fermé en 1907 à cause de l'écoulement des eaux sales. Il fut déplacé un peu plus loin sur le boulevard Gambetta, ex Riou Blanquet et sous les voutes de ce qui sera appelé le lavoir Gambetta.

 

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Joseph Farnarier signale aussi que dans le quartier de la Porte Neuve, la ville disposait d'un local vouté donnant sur l'avenue Chiris (ex avenue des Capucins) local qui servait à stocker le matériel nécessaire à l'allumage (les longues perches en particulier) et à l'entretien des réverbères de la ville. En 1810, il y avait encore 45 réverbères pour éclairer les rues de Grasse et 50 lanternes à huile.

 

 

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PLACE NEUVE ET LE COUVENT DE LA VISITATION

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A tout début de la place Neuve, donc juste avant le bâtiment historique de la parfumerie Ossola en venant du Barri, et le long de la rue du Saut en contrebas de la Place Neuve, se trouve le couvent de la Visitation. 

Le couvent de la Visitation vue depuis le jardin - Photo Nice-Matin

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Appelées par l'évêque de Grasse Scipion de Villeneuve les religieuses de la Visitation Sainte-Marie, les Visitandines, étaient installées au début de leur présence à Grasse en octobre 1634 dans le haut de la rue Tracastel dans le couvent des Ursulines puis plus tard vers le bas, à l'adresse de l'ancien séminaire avant d 'occuper en 1814 ce nouveau couvent construit à leur intention. La municipalité de 1824 (le maire était le Chevalier de Tressemannes) décida de construire un petit pont pour passer de la Place Neuve à la chapelle du couvent dont l'entrée principale se trouvait en contrebas et de l'autre côté de la rue du Saut. (Voir l'article 'Les congrégations religieuses à Grasse)

 

La chapelle du Couvent de la Visitation - Photos André Raspati

 

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Le bâtiment se compose de trois parties disposées en U vers le sud. Il comprend cloître, cellules des religieuses, dortoir du noviciat, réfectoire, chapelle, lavoir, four à pain, jardin et cimetière. Les Visitandines, bien que cloitrées, accueillent les jeunes filles issues de la bourgeoisie grassoise à qui elles enseignent la fabrication de dentelles, de broderie et de pommades. En 1981, les religieuses, peu nombreuses, quittent Grasse et rejoignent la congrégation dans le Vaucluse.

 

Le couvent de la Visitation et son jardin - Photos André Raspati

 

 

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Les petites rues en dessous de la Visitation

Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve

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PLACE NEUVE ET LES MICOCOULIERS 

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Il y avait sur la Place Neuve, deux énormes micocouliers dont les municipalités successives ont toujours pris un grand soin. Ces micocouliers semblent avoir marqué les grassois qui passaient à côté quatre fois par jour pour rejoindre leur lieu de travail dans les parfumeries en bas de la ville ou encore pour aller prendre le train dans une des deux gares de la ville.

 

 

Le quartier de la Porte Neuve en 1902 - Document Jean Napoli

 

 

Ils disparurent hélas de leur belle mort dans les années 1930.

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LA PORTE NEUVE

Un accès vers les campagnes au sud de la ville

 

Magnifiques photos de la Porte Neuve par Jean LUCE (fin XIXe)

 

Photo Pierre Sahyoun

 

 

Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve

LA PORTE NEUVE

L'ancienne porte à différentes périodes

la dernière des portes des remparts qui ait subsisté 

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Un document exceptionnel

 

Document Jean Napoli

1943 : la Porte Neuve vue depuis l'intérieur de la cité avec un poste militaire à sa sortie vers la Place Neuve

 

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Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati
Collections Laurent Anton et André Raspati

Collections Laurent Anton et André Raspati

 

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LES BAINS PUBLICS DE LA PORTE NEUVE

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Collection Laurent Anton

 

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Une autre réhabilitation très remarquée en 2020 

L'ancien hôtel du Commerce

 

Photos Facebook

 

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AUTOUR DE LA PLACE NEUVE

LA PORTE VOISINE : LA PORTE DE LA ROQUE

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AUTOUR DE LA PLACE NEUVE

LE PONT DE LA ROQUE

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Il permettait de contourner les remparts entre la Porte Neuve et la Porte de la Roque sans rentrer à l'intérieur de la ville

 

Photo JeanLUCE début XXe

 

Le pont de la Roque est détruit en 1944 par les allemands

 

 

AUTOUR DE LA PLACE NEUVE

LES ANCIENS ETABLISSEMENT TOURNAIRE

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Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve
Grasse vintage - Le quartier de la Porte Neuve

AUTOUR DE LA PLACE NEUVE

LE PONTET

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La Place du Pontet et son accès, un des sept anciens accès de la ville. Commentaire : Laurent Anton Gracia

 

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AUTOUR DE LA PLACE NEUVE

L'AVENUE CHIRIS

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La rue de la Porte Neuve

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Une vue depuis la Porte Neuve

 

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Ce blog a été réalisé par : andre.raspati@gmail.com

Avec mes plus vifs remerciements aux différentes personnes qui m'ont aidé à réaliser ce blog "Grasse-Vintage" et tout particulièrement :

  • La Région PACA qui m'a aimablement autorisé à utiliser les textes et les photos publiés dans l'inventaire général du Patrimoine Culturel : https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=%22parfumerie+de+Grasse%22&type=Dossiers
  • Le centre de Documentation iconographique, documentaire et historique produite par les services patrimoniaux de la DRAC PACA et réalisée par Gabriel BENALLOUL -  http://patrimages.culture.fr/
  • La Maison du Patrimoine de la Ville de Grasse dont la responsable Laurence ARGUEYROLLES m’a permis d’accéder à de très nombreuses informations - animation.patrimoine@ville-grasse.fr 
  • Les Archives Communales de la Ville de Grasse qui m'ont aidé dans mes recherches et permis d'accéder à de très nombreuses informations - http://www.ville-grasse.fr/archives_communales.html   et particulièrement Mesdames  BARBUSSE et HERNANDEZ 
  • Corinne JULIEN-BOTTONI qui m'a aimablement autorisé à publier ses articles de l'histoire de Grasse qui paraissent régulièrement dans Nice-Matin 
  • Robert VERLAQUE, professeur, historien, auteur d'ouvrages sur Grasse (Grasse du Moyen-Age à la Belle-Epoque, Grasse au XX ème siècle), Président du Cercle Culturel de Grasse qui m'a transmis de nombreux documents
  • Alain SABATIER, photographe qui m'a autorisé à utiliser ses clichés pour illustrer mes blogs
  • Toutes les personnes qui m'ont prêté leur collection de cartes postales, de photos ou de documents. 
  • Toutes les personnes qui publient ou qui ont publié sur les réseaux sociaux des documents ayant un lien avec mon blog

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Bibliographie

  • "Contribution à la connaissance de la ville de Grasse" de Joseph FARNARIER
  • "Le Pays de Grasse" de Hervé de FONTMICHEL
  • "Grasse, Portrait d'une ville provençale" d'Alain SABATIER et Lucien AUNE
  • "Grasse, dans les bouleversements du XXe siècle" de Robert VERLAQUE

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