Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Du nouveau à Grasse dans le monde de la parfumerie
Une nouvelle approche et une mise à jour très complète dans de nombreux domaines du monde de la parfumerie industrielle vient d’être publiée sous le titre tout à fait évocateur de la magie des fleurs à parfums du Pays de Grasse toujours exceptionnelles, des techniques des industriels et de l’art de la création des parfumeurs, « La Magie d’un Terroir - Regards sur cinquante ans de parfumerie en Pays de Grasse ».
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Ce blog a été réalisé par : andre.raspati@gmail.com
Avec mes plus vifs remerciements aux différentes personnes qui m'ont aidé à réaliser ce blog "Grasse-Vintage" et tout particulièrement :
- La Région PACA qui m'a aimablement autorisé à utiliser les textes et les photos publiés dans l'inventaire général du Patrimoine Culturel : https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=%22parfumerie+de+Grasse%22&type=Dossiers
- Le centre de Documentation iconographique, documentaire et historique produite par les services patrimoniaux de la DRAC PACA et réalisée par Gabriel BENALLOUL - http://patrimages.culture.fr/
- La Maison du Patrimoine de la Ville de Grasse dont la responsable Laurence ARGUEYROLLES m’a permis d’accéder à de très nombreuses informations - animation.patrimoine@ville-grasse.fr
- Les Archives Communales de la Ville de Grasse qui m'ont aidé dans mes recherches et permis d'accéder à de très nombreuses informations - http://www.ville-grasse.fr/archives_communales.html
- Corinne JULIEN-BOTTONI qui m'a aimablement autorisé à publier ses articles de l'histoire de Grasse qui paraissent régulièrement dans Nice-Matin
- Robert VERLAQUE, professeur, historien, auteur d'ouvrages sur Grasse (Grasse du Moyen-Age à la Belle-Epoque, Grasse au XX ème siècle), Président du Cercle Culturel de Grasse qui m'a transmis de nombreux documents
- Alain SABATIER, photographe qui m'a autorisé à utiliser ses clichés pour illustrer mes blogs
- Toutes les personnes qui m'ont prêté leur collection de cartes postales, de photos ou de documents.
- Toutes les personnes qui publient ou qui ont publié sur les réseaux sociaux des documents ayant un lien avec mon blog
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Bibliographie
- "Contribution à la connaissance de la ville de Grasse" de Joseph FARNARIER
- "Le Pays de Grasse" de Hervé de FONTMICHEL
- "Grasse, Portrait d'une ville provençale" d'Alain SABATIER et Lucien AUNE
- "Grasse, dans les bouleversements du XXe siècle" de Robert VERLAQUE
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Si un document qui figure dans ce blog n'est pas libre de droit merci de me le signaler
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LES COMMERCES D'UNE AUTRE EPOQUE
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LES COMMERCES DANS L'ORDRE DE CETTE ETUDE
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1- LES COMMERCES DE L’AVENUE THIERS ET L'AVENUE VICTORIA
2- LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA FOUX
3 - LES COMMERCES DE LA RUE MAXIMIN ISNARD
4 - LES COMMERCES DE LA RUE PAUL GOBY
5 - LES COMMERCES DES QUATRE COINS
6- LES COMMERCES DE LA RUE DE L’ORATOIRE
7 - LES COMMERCES DE LA RUE DE LA FONTETTE
8 - LES COMMERCES DU THOURON
9 -LES COMMERCES DE LA RUE DES AUGUSTIN ET LA RUE DE PEYREGUIS
10- LES COMMERCES DE LA PLACE AUX AIRES
11- LES COMMERCES DE LA RUE DES FABRERIES
12 - LES COMMERCES DE LA RUE DES MOULINETS
13 - LES COMMERCES DE LA RUE AMIRAL DE GRASSE
14- LES COMMERCES AUTOUR DU COURS
15- LE COMMERCES DU SQUARE FRAGONARD
16/01 - LES COMMERCES DE LA RUE DROITE
16/02 - LES COMMERCES DE LA RUE GAZAN
17- LES COMMERCES DE LA RUE CHARLES NEGRE
18 - LES COMMERCES DE LA RUE TRACASTEL
19 - LES COMMERCES DE LA PORTE ET PLACE NEUVE
20 - LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA POISSONNERIE
21 - LES COMMERCES DE LA PLACE ETIENNE ROUSTAN
22- LES COMMERCES DE LA RUE DE LA POISSONNERIE
23 -LES COMMERCES DE LA PLACE AUX HERBES
24- LES COMMERCES DU JEU DE BALLON
25 - LES COMMERCES DE SAINTE-LORETTE ET VICTOR HUGO
26 -LES COMMERCES DE L’AVENUE ETIENNE CAREMIL ET DU BD GAMBETTA
27- LES COMMERCES DE QUELQUES PETITES RUES
28 - LES COMMERCES DES BOULEVARDS FRAGONARD ET CARNOT
29 - LES COMMERCES DU QUARTIER DES CASERNES
30 - LES COMMERCES DU PLAN DE GRASSE DE GRASSE
31 - ENCORE D’AUTRES COMMERCES
32 - LES BRADERIES ET LES SEMAINES COMMERCIALES
33 DOCUMENTS COMMERCIAUX ANCIENS
34 - TEMOIGNAGES
35- LES PUBLICITES
1 - LES COMMERCES DE L'AVENUE THIERS
ET DE L'AVENUE VICTORIA
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Une institution grassoise
La parfumerie Terramatte
Un peu d’histoire sur la maison Terramatte... Madame Terramatte, la maman de Francis, en 1917 donc durant la guerre, a ouvert sa boutique. Au début, la boutique se trouvait à la place de l'ancienne Caisse d'Épargne, devenue maintenant l’école des parfums. En ces temps de guerre, elle a ouvert sa boutique avec une seule botte d’œillets. Elle l'a vendue puis est retournée à Nice en a acheté deux... et voilà. Ensuite comme les fleurs n’étaient pas encore très démocratisées et les chaînes florales pas encore organisées, on expédiait des fleurs dont beaucoup d’œillets et des fruits par la poste. Le magasin s'appelait "Aux fleurs et fruits de la Riviera". Le magasin a déménagé à ce moment-là à la place de la Foux... où actuellement se trouve le jardin et la stèle de Napoléon. A la construction de l'office du Tourisme, place de la Foux, la ville a loué le local actuel, vers les années 1930... Le bail date de 1936. Francis aidait ses parents et avait aussi une entreprise de nourriture et fourrages pour les animaux aux galeries Tressemannes en association avec son beau-frère jusqu'en 1969. C'est à cette époque que le magasin a été nommé Art Floral Maison Terramatte. Francis a pris sa retraite en 1997. Le magasin avait alors été tenu par la même famille pendant 80 ans. Il a été repris pas nous en 1997. L 'atelier aux Terrasses Tressemannes a été vendu. Au départ de l'office du Tourisme nous avons pu un peu nous agrandir.
Texte et documents Art Floral-Grasse
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Garage Engilberge, garage Rovarey, Patisserie Joubert....
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Documents Jean-Marc LORTHOIS - Publiés sur Facebook en octobre 2018
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Installé depuis 1947 à la rue Tracastel, le magasin TOUSPORTS déménage au n°1 de l'avenue Thiers.
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1960 - Tousports devient MATERNA articles pour bébés
2 - LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA FOUX
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Le kiosque à journaux de Monsieur Luppi, la pharmacie, Maison Crousillac, Terrematte le fleuriste, le Syndicat d'Initiatives, Bonin les huiles, Sabatier le restaurant ...
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L'Estérel
Plus récemment on y trouve le bar plus que célèbre pour toute une génération de jeunes grassois, l'Estérel... On remarque avec nostalgie les beaux platanes qui apportaient ombre et fraîcheur pendant l'été.
Quelques témoignages : " Une institution... Oui je me souviens bien c'était exactement comme ça. J'ai bien connu l'Estérel, ce café où on se retrouvait entre copains mais c'est vrai que cet établissement avait la réputation d'être le café où se rassemblaient les snobs et les snobs à l'époque ça voulait dire enfants de riches et intellos etc...et nous y allions bien que pas du tout snobs et tout se passait bien. Très bons souvenirs d'une époque insouciante..."
----------------------> Témoignage de Annie GARCIA, la fille de Monsieur Luppi, l'ancien propriétaire du kiosque à journaux au dessus du Thouron (Facebook-Janvier 2019) :
"Mon père a tenu le kiosque à journaux au dessus de la fontaine du Thouron pendant plus de 50 ans... A l'époque c'est moi qui gardais le kiosque plusieurs fois par jour ; on commençait à 4h30 du matin ; lui distribuait les deux journaux du matin, Nice Matin et le Patriote dans toute la Ville et l'après-midi il venait me chercher à 16h30 à l' école St Hilaire et je gardais le kiosque pendant qu'il distribuait le journal L'Espoir (journal de l'après-midi)....Même quand je me suis marié, j'aidais mon père qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige il fallait toujours faire la tournée même une fois j'ai fait celle du matin et de l'après-midi en remplacement de mon père...Mon père a commencé avec un charreton. Son patron était Mr.Perrier. C'est lui qui a dit à mon père de se mettre à son compte moi j'allais à l'époque chez Mr Perrier qui tenait la librairie Hachette sur le Jeu de Ballon.
A l'époque, dans notre quartier, il y avait un rémouleur qui aiguisait les couteaux, un marchand de marron chaud qui était Mr Vannini ... il y avait aussi un marchand de glace au plus bas des escaliers ; c'était Mme Vannini et en face il y avait le marchand de vin de Maurice Gal ... C'était la belle époque...En face du kiosque il y avait le bar des Négociants tenu par Marcel Doussan. Quelques fois en nous attendant que mon père retourne au kiosque après sa tournée, il prenait le paquet de journaux qui avait été déposé sur le trottoir par le livreur ; il l'amenait dans son bar pour les vendre ou simplement pour surveiller qu'on ne nous les vole pas ce qui arrivait quelquefois. A côté du bar il y avait le magasin de peinture Constant à côté encore il y avait le magasin de souvenir l'Escarpolette... un peu plus haut, il y avait le bar La Taverne après il y avait Vilmorin, le marchand de graines et plantes ...Que de bons souvenirs ...Le kiosque de mon père était petit il y avait toujours ce platane tout proche ; maintenant le Kiosque à été à grandi mais le platane n'y est plus...Mon dieu si mon père voyait ça ...
En face du kiosque il y avait le marchand d'huile Mr Bonin et à côté il y avait le bar de l'Esterel ... tout a changé à la place du Théâtre il y avait Monoprix je travaillé 2 ou 3 jours par semaine j'étais tantôt au rayon jouets tantôt au rayon droguerie et à la Noël je restais au plus de l'escalator extérieur et je vendais les huîtres en plein courant d'air. En 1965 sous la Municipalité de Honoré Lions qui était le capitaine des Chasseurs Alpins de mon père, j'ai travaillé à la piscine Altitude 500. J'étais au vestiaire et je donnais au clients les paniers pour qu'ils mettent leurs affaires et l'hiver je travaillais à la Mairie (j'étais enceinte de ma fille)... j'étais au service de l'État Civil et j'ai travaillé jusqu'au soir de mon accouchement..
Voilà une partie de mon histoire mais il y aura encore des épisodes..." (Annie Garcia)
3 - LES COMMERCES DE LA RUE MAXIMIN ISNARD
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Rue Maximin Isnard
Il y a eu pendant un certain nombre d'années, le Studio MM, studio des photographes Jacques Mayer et Claude Moure. "Après la dissolution de leur association, Claude s'est installé boulevard du Jeu de Ballon et Jacques (d'après ce que m'en avait dit un ami commun, a déménagé dans le Var". (Informations Jacqueline Pennes Goutelle)
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"Sur cette photo (angle Maximin-Isnard) cette belle façade en porche sous le balcon, abritait dans les années 1950/60 Les Docks des Matériaux et Véran & Costamagna, par la suite. Mon père y était comptable dans les années 60. Les bureaux faisaient angle et les fenêtres étaient plus petites...
Le magasin à côté était "Radio Centrale" tenu par Monsieur Besson, postes de radio et de télévision, magnétophones, tournes-disques, réparations électroniques et électriques et surtout la caverne d'Ali-Baba pour trouver tous les 33Tours vinyles à la mode dont on pouvait écouter les extraits sur le Teppaz du magasin avant de l'acheter. Le technicien de l'époque ressemblait comme deux gouttes d'eau à un Rolling Stone (Charlie Watts)"... (Informations Jean-Marie Grosso)
4 - LES COMMERCES DE LA RUE PAUL GOBY
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Le marchand de peintures Alborni, le coiffeur Bertacchi, l'atelier du photographe Roger Porta.....
5 - LES COMMERCES DES QUATRE COINS
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LA MAISON CARLAVAN
Une institution dans ce quartier
(documents et informations Jacquie Vidal)
Une photo très ancienne le magasin Mantégues aux 4 coins à Grasse qui s'appelait "Au Bon Marché" et appartenait à Monsieur et Madame Mantégues
C'est la maison Carlavan en 1934. On la situe vu l'âge de mes cousins et cousines. Il y a mon oncle Jacques Carlavan, ma marraine son épouse, leur fille Paulette mon cousin Henri Boucanier, mon cousin Francis Boucanier. Mon cousin Henri s'en rappelle ; il me dit que les commerçants se déguisaient ce jour là pour la semaine commerciale.
(documents et informations Jacquie Vidal)
Le magasin Mantégues est devenu plus tard la Maison Carlavan acheté par la famille Carlavan et géré par la suite par mon oncle Jacques et ma marraine.
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Pour aller à la rue Dominique Comte depuis la Place aux Aires
A gauche, la droguerie COURT puis vêtements SUSANA Mme TUBIANA, puis Chaussures puis boulangerie, ensuite ?? la boutique CARLAVAN vêtements de travail pour hommes et confection, toiles diverses. En face après Magalaine, Vêtements pour Hommes, ensuite mercerie tenue par Melle Achard et Mme Guintrant puis primeurs .
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Rue Dominique Comte à l'angle de la rue de la Fontette, Boulangerie CIVATTE, ensuite LA KERMESSE disques et instruments de musique COLLINOT, remplacé par Jacky SMANIA, fromages et fruits, légumes. Quincaillerie Bertrand et Vigouroux, remplacée par ARBEL chaussures, famille ROUQUIER ; fruits et légumes LONDI remplacé par YVES ROCHER, ensuite la boucherie ARMITANO remplacé par M.BOURSERAUT puis mercerie. Enfin le Bar/Tabacs LE FONTENOY.
En face, la boucherie PELASSY remplacée par GIRAUD ensuite un magasins de papiers peints et moquettes puis bar à vins ensuite un fleuriste puis chaussures.
6 - LES COMMERCES DE LA RUE DE L'ORATOIRE
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Le marchand de chaussures" l'Etoile", le coiffeur Jeannot (Jeannot Depetris et avant lui, le coiffeur s’appelait Jules Torre ; Jeannot était son apprenti- infos Facebook), Grasse-copie, le poissonnier, le Grenier, la boulangerie d'Angelo, le pressing, la fromagerie, une papeterie, Madame Caroti avec ses vêtements pour enfants, un chasseur, plusieurs épiceries....il y avait un fleuriste à un moment avec des poissons et des tortues (environ 40 ans), la menuiserie Lerda, le restaurant "chez Loulou" (MMme Latta), les caves à vins Galiano...
Épicerie Mme Martini, son mari Fabio était mon premier patron ; j’avais 15ans ,on avait l’entrepôt, la petite porte à côté de l’église !!! (publié sur Facebook)
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7 - LES COMMERCES DE LA RUE DE LA FONTETTE
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8 - LES COMMERCES DU THOURON
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... En descendant depuis la Caisse d'Epargne,...., Caprice, les produits de beauté, la pâtisserie Cappa, xxx, les vins et boissons Mme GAL, la Voute mais auparavant la boulangerie-pâtisserie Joubert, xxxx, et en face près des escaliers, le rémouleur, XXXX
Côté gauche, électricité Barbirolli et ensuite MOUTON, Charcuterie Lyonnaise Dutouquet, ensuite "Avril", la chemiserie de Mme BENNE, ensuite les fromages MAROGNIA et la droguerie Maillan qui rejoint la place aux Aires
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Monsieur et Madame Nestor devant leur épicerie de la rue du Thouron. Monsieur Nestor était conducteur du Funiculaire - Photo Jean Luce fin XIXe
La charcuterie Lyonnaise de Monsieur Dutouquet. Elle fermera ses portes en novembre 1985. La photo en haut et à gauche date de 1954.
Photos du haut à gauche N & B : Jean PASCAL, Paul KOZAK, et Ginette. (Photo de 1952 Collection Denis Pascal)
Autres photos : Denise REBUFFEL, Lucienne PASCAL, Jean PASCAL, Cathy et Daniel BISHOP.
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Ce commerce de vins était installé à la rue du Thouron, là où il y aura plus tard la pâtisserie CAPPA
9 - LES COMMERCES DE LA RUE DES PEYREGUIS ET DE LA RUE DES AUGUSTINS
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RUE DE PEYREGUIS
Huiles Bonin qui occupaient les anciennes écuries des grands-parents Bertacchi qui étaient à l'époque transporteurs, taxis..., l'herboristerie Escarel
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RUE DES AUGUSTINS
"Au numéro 1 de la rue des Augustins (la maison a été récupérée pour agrandir le musée de la parfumerie) il y avait la menuiserie Pélissier et juste au dessus mon arrière-grand-mère, Maria Manaud née Icart a tenu pendant de nombreuses années, une pension de famille".
Informations Jacqueline Pennes Goutelle
A côté de Bertacchi, le marchand de pommes de terre, il y avait la boutique du tailleur Auteville qui a été remplacée en 1988 par le restaurant de Claude Grecco et son épouse, le restaurant "La Pitchounette", ensuite l'atelier Damiano en face un entrepot qui était avant une menuiserie puis une ou deux épiceries.
10 - LES COMMERCES DE LA PLACE AUX AIRES
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LES COMMERCES DE LA PLACE AUX AIRES
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LA LISTE DES ANNEES 1950/1970
Et si on se faisait une balade à la place aux Aires comme si c’était il y a 50 ou 60 ans quand la place grouillait de monde, quand le marché éclaboussait de couleurs tous les jours, quand les nombreux commerçants apportaient le lien aux grassoises et aux grassois.… bref quand la place vivait intensément.
Je revois… on descendait la rue du Thouron… On se sentait aspiré par les arcades, ce magnifique trottoir piétonnier qui offrait de nombreux commerces… Le Chat botté avec des patrons et des vendeuses adorables… il y avait en permanence des étals couverts de chaussures à l’abri sous les arches… « Sous les Arcades », la belle papeterie-librairie… la boutique des vêtements Rodier qui était auparavant la boutique des caves Galliano et encore avant l’épicerie de Madame Bensa chez qui, petits, nous allions avec mes frères remplir le bidon de lait quotidien et chez qui on achetait les pâtes, le riz… uniquement en vrac à l’époque… La Maison Ballestra, vaisselle et équipement ménager, plus que célèbre grâce aux jours de foire pendant lesquels, Monsieur Ballestra faisait un numéro de marketing exceptionnel… Voici La Cannoise, une grande boucherie qui a remplacé le magasin de meubles des illustres Madame et Monsieur Marzorrati… Incroyable époque où l’on pouvait acheter des meubles à la place aux Aires !!! Maintenant et toujours sous les arcades la « Papeterie du commerce » présente depuis toujours pour tout un tas d’articles de papeterie pour les entreprises et les scolaires… Le lunetier Krys qui a remplacé la vaste teinturerie « Cinq à sec » et elle-même ayant succédé à la fameuse quincaillerie Pedemontano, disparue aujourd’hui mais concurrent pendant un certain temps de Bertrand et Vigouroux pour tout ce qui concerne le bricolage et les travaux dans la maison. Il y avait déjà à cet endroit et depuis longtemps, une quincaillerie… Quelques entrepôts de maraichers de la place occupaient ensuite d’anciennes caves ayant une ouverture sur la place… La charcuterie de la Montagne qui a connu différents propriétaire et qui vendait de nombreux produits traditionnels de qualité… Enfin nous arrivons à la dernière arche des arcades avec la boutique qui a été très longtemps la propriété de Monsieur et Madame Thomas. Ils vendaient, au début, du linge de maison de la marque réputée « Linvosges » puis se sont tournés vers le sport qu’ils associeront rapidement à la chaîne « La Hutte ». Ils quitteront les Aires pour le Jeu de Ballon en laissant leur espace à une boutique de prêt à Porter tendance, La Chiffonnerie » de Madame Mercier, belle soeur de Charles Pasqua. Il passait souvent lui rendre une petite visite. Dans les années 2000, toutes ces boutiques des arcades à l’exception de l’optique Krys, sont devenus des restaurants. On pouvait se douter qu’à l’heure du déjeuner il y aurait dispute avec les maraîchers qui n’avaient pas encore quitté la place. Mais là, c’est une autre histoire.
Nous continuons notre balade « commerçante » et quittons les arcades. Un coiffeur pour hommes était installé dans le premier local, Monsieur Cotta…Il sera remplacé par un magasin d’optique... Ensuite, es vêtements et blouses de travail Canet qui occupaient le local commercial suivant… Beaucoup d’anciens se souviennent encore du magasin d’après, un peu bric à brac « Le Paradis du Plastique » tenu par Madame André et son neveu Jacques. On y trouvait de nombreux articles de ménage pour la maison. Ce fut auparavant, un magasin de tissus… Une boutique à double vitrine arrive ensuite, une boutique de fringues pendant très longtemps. Elle existait déjà en 1940 comme en atteste cette photo prise en pleine période de soldes. Madame Raspati et sa boutique « l’Eglantine » de sa deuxième époque lui succèdera : vêtement pour enfants, lingerie, mercerie… très appréciée après la période de la guerre 39/45… elle même remplacé par les tissus Loubet. A l’étage, sortit de la magie d’avant, le tailleur Auteville. Après le couloir d’accès à l’immeuble, un salon de coiffure pour hommes et barbier dans la petite échoppe d’après ; elle était tenue par Monsieur Raspati qui donnera sa place à Philippe Mezzeta, le créateur de la célèbre « coupe au rasoir » remplacé plus tard par différentes agences immobilières. Enfin, au bout du trottoir y eut des transporteurs, le transitaire Walke puis une agence de voyages et enfin un magasin de vêtements « Dune ».
Le petit côté qui ferme la place et qui permet d’accéder à droite à la rue des Peyreguis et à gauche à la rue Amiral de Grasse a hébergé pendant longtemps une épicerie devenue Félix Potin suivie elle même par un magasin de son et d’images quand la télévision arrivait dans nos maisons et tenu par Monsieur Boniffassi…Ce magasin est devenu ensuite une boutique de mode… à côté, il y avait un petit magasin de jouets remplacé par une papeterie occupé ensuite par la coiffeuse Marie-Claire. On traverse la rue Amiral de Grasse régulièrement associée pour son début du moins à la place aux Aires avec le bar/tabacs/journaux La Civette tenu un moment par MMme Cyrano puis MMme Borgioli et la Boulangerie Cassarini et sa célèbre pissaladière. On revient sur le tour des Aires en traversant la petite rue des Moulinets. On commence ce côté par la bijouterie Boucanier qui était pendant de nombreuses années le domaine de la Boucherie Inaudi ; elle disposait de son garage privé (le seul des Aires) dans le local suivant où il y avait également les frigos. Et maintenant, la pâtisserie Hugues avec ses superbes rameaux de confiserie pour la période de Pâques, ses fougassettes, ses glaces maison et qui a laissé sa place à Yves Rocher. Nous voici devant la boutique de prêt à porter de René Gilles présente pendant de très nombreuses années. Une petite échoppe maintenant où il y avait dans un temps ancien l’Eglantine du tout début là où Madame Raspati a commencé son aventure commerciale, suivie des chaussures de Monsieur Leguen et sa soeur, puis des pâtes fraîches de la famille Baudino arrivée de la rue Mougins-Roquefort et plus récemment encore, l’huilerie du domaine de La Royrie. Tout à côté il y avait dans le temps un commerce de gros de fruits et légumes tenu par la famille Ruiz ; ce commerce sera remplacé par Prénétal et ses articles pour le bébé. On continue notre chemin devant le commerce de gros tenu à une époque par Monsieur Bégoz ; il y aura ensuite dans ce grand magasin, l’Eglantine n°3 de Madame Raspati et son équipe pour la vente des collections de prêt à porter très prisées par les familles grassoises. Il nous faut traverser ensuite la rue des Fabreries pour arriver à l’ancienne pharmacie Demachy, reprise plus tard par Monsieur Liautaud avant qu’il ne déménage sa pharmacie dans la galerie marchande du Centre Leclerc. Le commerce d’à côté était dans le temps un magasin de photos de la famille Tillet où nous portions les pellicules à développer sur papier. Une grande devanture ensuite, celle de l’ancienne antenne commerciale de GDF, le Gaz De France qui recevait les clients pour régler leurs problèmes (oui c’est vrai et c’était bien à la place aux Aires !!!). GDF a déménagé et sera remplacé d’abord par les antiquités Garcia ensuite par des galeries et expositions de peinture et enfin plus récemment par la Parfumerie Molinard. Ensuite toujours dans le temps passé il y avait la petite fromagerie et crémerie Denery, très réputée aussi. N’oublions pas la belle installation du Crédit Commercial de France, le CCF dans un immense espace où clients et personnel grouillaient autour du grand guichet central. C’était la magnifique époque pour la banque de proximité dirigée de main de maître par Monsieur Collomp. L’ère HSBC a effacé cette belle image. Le local de distributeur automatique de fonds a remplacé une petite boucherie chevaline. Il y aura après d’autres commerces qui connaîtront de nombreux changements, Grasse-Copie, Agence immobilière Giovanini, l’entreprise d’électricité Commençon. puis les vêtements pour homme de Monsieur Freinet, longtemps présent sur les Aires. La suite avec la pharmacie Leonetti puis le Bar des Aires tenu par Monsieur Michel dont la compagne tenait un étal de bonbons/biscuits sur le marché face au bar, Yvette Thiavat et Paul Funel ont tenu le bar plus tard. Nous arrivons à la charcuterie-traiteur Cudennec qui sera remplacé par le traiteur Rolles. Voici Magalaine quand il était très mode de tricoter ; la laine laissera la place à du prêt à porter de la famille Vieillas. Traversons enfin la rue Dominique Conte pour admirer la boucherie Olivier présente au même endroit depuis de nombreuses années à côté des tissus « Le Grand Paris ». Nous arrivons à la boutique des Arts ménagers, tout pour la table tenue par la famille Papin avant Madame Commençon. Avant les Arts Ménagers et la famille Papin, il y avait La Petite Jeannette le rêve pour ces dames. Cinq étages de vêtements issus des usines Mercier du Riou Blanquet. Au pied de l’immeuble Maximin Isnard, L’Ariel successeur du bar-tabacs de Monsieur Marcellin… Et nous voici aux Petites Aires avec la boutique de graines Bonnome, tout pour le jardin et la terrasse qui précède un magasin de brocante et d’antiquité après avoir été le magasin d’exposition de Monsieur Commençon. Enfin pour terminer notre tour il nous faut évoquer une des dernière droguerie, de Grasse, la droguerie Maillan… avant de retrouver la rue du Thouron.
(Réalisé avec le concours de Charles Cudennec)
Télévision Louis BONIFASSI (jusqu’à la tragique intoxication aux champignons ayant couté la vie à Louis et presque à sa fille Dominique. Leur fils Gérard, lui aussi a tragiquement disparu en août 2005, écrasé par un chariot élévateur à l’usine Citroën d’Aulnay sous Bois)
----------------------> Témoignage de Laure BELUFFI (Facebook 16/01/2019) :
"Le marché place aux Aires était celui qui avait les faveurs de mes grands parents. ...La Mercerie de Madame Raspati ou l'on trouvait tout pour la couture et le premier prêt à porter ! À l'autre angle la pharmacie Demachy puis la petite crémerie Deneri. Je crois. La place avec ses bancs de légumes et aussi une petite dame qui vendait ses produits œufs quelques légumes de son jardin et des petits bouquets de fleurs sauvages : de muscaris, de roses de Noël ...la fontaine pleine de fleurs. Tout le monde se parlait c'était un lieu de rencontre incontournable même si nous habitions à la campagne !!! St Jacques !!! Et comme toutes les villes une profonde transformation s'est faite. Les photos sont des témoins qui nous gardent les souvenirs des années précédentes ..."
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Tout d'abord un souvenir que nous devons à Gilles Rebuffo, un de ses petits-fils : la Maison BALESTRA. Monsieur Balestra était un véritable "phénomène" des foires sur le Cours et dans les villages autour de Grasse. Ces foires, pour ce qui concerne celles de Grasse, étaient très animées pendant une bonne semaine à l'occasion de la Saint-Michel ou de la Saint-André. Il y avaient les manèges avec le célèbre "Mickey" que les enfants devaient attraper pour gagner un tour gratuit, les "baraques" avec du tir à la carabine pour gagner des peluches, des poupées ou des bijoux fantaisie... la "grande" piste des autos tamponneuses qui n'était pas fréquentable par tout le monde... Certains jours, le lundi en particulier c'était la "grande" foire avec des marchands de nougats ou de charcuterie italienne avec la fameuse "porchetta" qu'on ne trouvait nulle part ailleurs, les pommes rouges enrobées de caramel, les barbes à papa etc...
Et il y avait sur les escaliers du Cours l'exceptionnel, l'unique Monsieur Balestra qui vendait la vaisselle de sa boutique de la Place Aux Aires. Il hurlait pour attirer les clients ; il avait un bagout peu commun. Et ce n'est pas tout ; pour attirer encore plus les clients il cassait, oui il cassait assez souvent de la vaisselle qui peut être était ébréchée mais il la cassait avec beaucoup de bruit et comment ne pas regarder l'artiste ; il avait un monde fou autour de lui et il hurlait et il cassait et il vendait... Un souvenir magnifique des années1950/1960...
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Infos Eric Jordanoff sur Facebook 2019/08 : "1965 c'était une véritable institution a Grasse, les arts ménagers Balestra sur la place aux Aires sous les Arcades . Madame Balestra une commerçante hors pair , comme on en fait plus, et son mari qui cassait les assiettes si les gens n 'achetaient pas . Comme nous sommes entre nous voici un petit secret... les assiettes cassées avaient des défauts donc invendables...."
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La famille de Madame Balestra est très connue à Grasse. Le frère ainé, Monsieur Venturini fabriquait, comme son père d'ailleurs, des fougassettes qu'il a longtemps vendues dans un kiosque sur la Place du Cours. Madame Mauro était marchande de vin entre le Pontet et le Marché aux Herbes. Madame Perotino vendait des vêtements au magasin de la rue Droite, "A la ressource ouvrière" et Monsieur et Madame Balestra avaient leur commerce de vaisselle sous les arcades, Place aux Aires. Ce sont les petits enfants jumeaux Mauro qui, depuis la fin des XXe et début XXIe siècle font le commerce des "véritables" fougassettes à la fleur d'oranger. http://infos facebook
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Le magasin de chaussures sous les Arcades appartenait à mes parents M et Mme CAPOCCIA qui l'ont repris sous la double enseigne GEP Le Chat Botté en 1980. Ce magasin appartenait avant à Monsieur SELMES. En remontant un peu l'histoire, ce local était, il y'a fort longtemps, une tannerie comme beaucoup d'autres sur la place aux Aires que traversait le Foulon. Il est ensuite devenu une épicerie puis une huilerie dont la cave possédait encore les vestiges quand mes parents l'ont repris (de grandes amphores dans le sol).
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Ci-dessous la graineterie BONNOME dans leurs anciens locaux Place aux Aires il y a quelques années entre 1955 et 1980. On y trouvait tout pour nourrir les animaux, planter dans nos jardins et ... manger de bonnes pommes de terre… Des pros, des vrais... Pierre, le père, Daniel, le fils et la famille avait aussi deux filles, Eliane et Josette (documents Daniel Olivier)
Quelques photos de la collection Charles CUDENNEC
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Sur cette photo, le fromager André HOULLIER et sa femme Jeannette au second plan avaient l'habitude de présenter les jours de marché les articles à la vente, oeufs, fromages....Leur étal était situé sur la place devant la rue du Thouron.
Ce jour là, une voiture descendait la rue du Thouron et sa conductrice a confondu la pédale d'accélérateur avec celle des freins, elle a donc perdu le contrôle du véhicule qui est venu s'encastrer dans le banc du fromager. Heureusement il n'y a eu aucun blessé mais l'omelette était "faite"...Suite à cet accident, le fromager a investi dans un camion pour remplacer le banc détruit.
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Les maraichers sur la place :
Le fleuriste GATTI puis sa fille Rosette ensuite la fleuriste Mme MARAUD, les marchands de bonbons et gâteaux Mme Lucienne BERGONZI et donc les fromages et crémerie André et Jeanette HOULLIER
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Encore la Place aux Aires dans les années 1950/1975
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Et toujours la Place aux Aires
L'Eglantine en 3 temps depuis le 16 juin 1937
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----------------->>> Témoignage de Jean-Marie Grosso
"J'y allais souvent enfant, avec ma mère couturière qui y achetait les boutons, les fermetures éclair, les "tubinos" de fils pour la machine à coudre et les tissus au mètre (il s'agissait des rubans et de tout ce qui se mesurait mais pas de tissus chez ma mère) mesurés avec le mètre en bois à section carrée avec un bout en laiton, par Madame Raspati, elle-même !!.... J'étais enfant et j'avais remarqué son index qu'elle ne pliait jamais ... Un accueil très convivial, très chaleureux et une bonne odeur de tissus....Une atmosphère très "féminine" Si mes souvenirs sont bons, le seul homme de la maison était Monsieur Raspati !... Et pleins de casiers en bois avec des centaines de boutons multicolores, la vendeuse s'appelait Jackie (si je m'en souviens bien).... L'Eglantine : une institution grassoise ... Un négoce de qualité malheureusement disparu de la Place aux Aires..." (Jean-Marie GROSSO)
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LA PLACE AUX AIRES A UNE TOUTE AUTRE EPOQUE
Joëlle Riquelme a trouvé dans les Archives départementales de Grasse en 1900 que cette enseigne CHANUT au 12 place Aux Aires était un marchand de parapluies. Il y avait aussi, à cette époque, un Chanut Négociant au 11 et un Chanut qui vendait des articles de chasse à la rue des Fabreries.
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LES COMMERCES DES PETITES AIRES
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11 - LES COMMERCES DE LA RUE DES FABRERIES
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la Maison GOEPFERT ...
Merci à Anne-Marie et Alain SABATIER qui m'ont confié deux photos en noir et blanc faites dans les années 1950 avec Madame Thérésine et Monsieur Alexandre GOEPFERT. La photo couleur, signée Alain SABATIER, date des années 1970.
Le magasin était situé de part et d’autre de la rue des Fabreries : celui des valises au n° 4 et celui des vanneries, en face au n° 5.
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12 - LES COMMERCES DE LA RUE DES MOULINETS
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Monsieur Garnero, traducteur italien/français, expert auprès des tribunaux, père de l'avocat, torréfaction et café Le Savoureux, l’ébéniste X, le cordonnier Joachim, la menuiserie Négro,
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13 - LES COMMERCES DE LA RUE AMIRAL DE GRASSE
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Le bar tabac La Civette tenu par Denis Borgioli et bien d'autres, la famille Verdiell (pêche, armes) avant le bouquiniste Michel Teisseire, Monsieur Girard le plombier, Madame Ricord, lingerie, Monsieur Escarel, herboriste, la boulangerie Ricord puis Cassarini, l'épicerie Forestier, la coiffeuse Madame Franchi et Madame Houdain, Monsieur Papa, le ferronnier, M. Arnaud, le bijoutier, les balances Goyonne, la laverie Lefort, la pâtisserie "Le Friand" de la famille Vignol, Oliva Mot, une lingerie, les vêtements pour hommes et Monique, bagages, sacs et toute la maroquinerie, l'assureur Monsieur Boulon.... Dans l'immeuble de Fontmichel le parfumeur Roux Galimard, le fleuriste Fleurissimo... les antiquités de Madame Armao...
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LA BOULANGERIE CASSARINI
UNE INSTITUTION
Oui une véritable institution à Grasse pour plusieurs générations avec des spécialités exceptionnelles : la pissaladière, les galettes des rois, les gressins, les "michettes".
Documents Stéphane Cassarini
"J'ai mis la boulangerie Cassarini à l'honneur car quand on dit Cassarini à Grasse, on pense pissaladière dont tout le monde en a encore l'odeur dans les narines et les papilles, le pain, son odeur, les gressins... Voilà la bonne boulangerie ..." Déclaré sur Facebook en 2019
Une petite histoire d'époque
"A l'époque où nos cuisines n'étaient pas équipées de fours électriques, la cuisson des plats était effectuée par le boulanger. Une solution assez simple, surtout quand on habite en ville. Une dame avait demandé à ma grand-mère de cuire un plat contenant des tomates farcies et des pommes de terre. Une autre dame a confié un plat de tomates farcies en tout identique, mais dépourvu de pommes de terre. Lorsque mon grand-père (qui était le boulanger) a remis à la première cliente le plat de la seconde cette dernière a pensé (sans oser rien dire) que quelqu'un avait mangé ses pommes de terre. Ce n'est que lorsque la deuxième cliente est venue récupérer son plat, étonnement complété de pommes de terre que l'erreur fut révélée...Une situation clarifiée par la suite qui n'a pas manqué d'amuser la première cliente." (Racontée par Stéphane Cassarini)
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LE BOUQUINISTE MICHEL TEISSEIRE
qui occupe l'ancienne armurerie Verdiell
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LES BOUTIQUES VERDIELL
"Voici une photo de mon grand-père Baldomero Verdiell devant son magasin "Chasse et Pêche". Il créera plus tard un magasin de sport sous la franchise Sport 2000. A sa disparition ma grand-mère Germaine ,(Philomène de son vrai prénom) prendra la relève du Sport et mon père Claude s'occupera de l'armurerie ; il travaillait avec Manufrance à Saint-Etienne et continua de fabriquer lui-même la fameuse cartouche "Buffalo" aussi bien dédiée aux chasseurs qu'aux puristes amateurs de Ball Trap, activité qu'il développa au plateau Roquevignon puis au Stand des Luchous à Cabris. En face de l armurerie il y avait une vitrine dans laquelle trônait la fameuse machine à fabriquer la Buffalo quand il eu franchi Le Cap de la fabrication artisanale à la main... Il prit part aussi à la vie de Clubs sportifs tels que le Racing Club de Grasse et le Ski Club... Il a aussi fait partie de l'Association Sportive Automobile de Grasse en son temps ; il était commissaire sportif et chronométreur entre autres en 1981 et 1982 au Tour de Corse où je l avais accompagné. Un personnage haut en couleurs (et en verbe) qui fit partie au même titre que mes grands-parents ainsi que tous les commerçants du secteur au rayonnement de la vie des Grassois."
(texte et documents de Philippe Verdiell)
L'ancien hôtel particulier des Durand de Sartoux d'après Patrick Isnard
14 - LES COMMERCES AUTOUR DU COURS
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15 - LES COMMERCES DU SQUARE FRAGONARD
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Infos de Léonie Baud sur Facebook 2019/08 : "Avec sa cabane et ses pain bagnas l'été, ses bonnes glaces et puis avec sa camionnette il faisait toute les fêtes le père Lauzet ...."
Beaucoup de grassois ont connu le kiosque Lauzet
16/01 - LES COMMERCES DE LA RUE DROITE
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========= la rue Jean OSSOLA ==============
en partant des escaliers du Cours jusqu'à la rue Tracastel
Sur cette magnifique photo de Vincent Saverino, les anciens grassois reconnaîtront à gauche la pâtisserie du Cours et au fond, à la montée de la rue Amiral de Grasse la boutique de vêtements pour hommes Oliva-Mot ; à droite l'étude notariale et la bijouterie Nerrière.
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A droite....... Bois et charbon Isaïa avant Hernu Perron et Fragonard, un notaire Crépaux, la bijouterie Nerrière, lingerie Molinengo (le fils de Madame Molinengo Jean-Marie était journaliste à FR3), l'électricien Coco Massaglia remplacé par René Trabaud, un bar Tabac, Sophie vêtements, .... Vaisselle Daver, Madame Arnaud, chapelière remplacée par Le croissant Rose.... et en face,
A gauche ....... Le Bar, le droguiste-coutelier, Boucherie Caille, vêtements Edith remplacé par les chaussures Giordanengo, la maroquinerie Monique, Oliva-Mott (après La Belle Jardinière), ....Boucherie Rigoli, Boulanger Margaria, la bijouterie Giraud, l'électroménager Daver.
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Une institution ...qui disparait en 2018
La petite épicerie de la rue Ossola que l'on voit très bien sur ces cartes postales à côté du Tabac, a été, pendant quelques temps tenue par ma grand-mère maternelle Antoinette Manaud (qu'on a toujours appelée Angèle)
Informations Jacqueline Pennes Goutelle
========= La rue DROITE=================
Rue Droite - A partir de la rue de la Fontette ---- Coté impair : charcuterie - Poseur de revêtement de sol (fondateur du rugby club de Grasse) remplacé par Radio tv Deparis - Droguiste peintre Ernest Giuglaris - Boucherie Trinchero - Vial puis Bégard radio TV Philips - Grossiste en vins et boissons Musso, remplacé par les meubles Prélati - Epicerie Lambert ex Capeli ------- Coté pair : Librairie - Mercerie AVICO - Alimentation Les Coopérateurs - Bar restaurant Isaia - Vêtement "La Ressource ouvrière" Perrotino (Informations de Bernard Noirot), le bijoutier Boucanier...
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Informations de Bernard Noirot (de l'ancien Boutique Bégard)
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======== Rue vieille boucherie - Alimentation Hugues - Alimentation Briatore - Boulangerie Toulonnaise Ricord Ex Torino - Papeterie Busigny ex Soutif - Auto école Paulo Foucard - Ex magasin de pâtes - Coordonnier Cappeli - Coiffeurs Isnard - Boulangerie Ferraza ex Bottero - Bar Tabac La Gitane
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======== Place Vieille Boucherie : Entrepôt de viande Giraud - Vins Garibaldi - Angle Pouost - Epicerie Giordanengo ----
Place Vercueuil : Ferronnier, serrurier Camatte
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Voilà sur la gauche une photo très ancienne publiée sur Facebook par Jacqueline Vidal en 2017. Voici ce qu'elle a écrit : "Je ne saurais vous dire la date de cette photo ...
"Le Monsieur avec le chapeau est Jean-Antoine Boucanier, il fait partie de ma famille, il était ferblantier, il avait la boutique dans la rue droite, après la mercerie de Madame Giacone, la dame est son épouse Marie-Augustine Gasq, la jeune fille : Henriette Boucanier, mariée avec Mr Charrier, leur fille... le petit garçon, Jean-Marie Gasq, leur neveu, les autres je ne sais pas...Bien plus tard, il y a eu un cousin de ma Grand-Mère : qui a acheté cette ferblanterie Célestin Bourgarel et ensuite, Luc et Antoine Bourgarel les cousins de ma maman.
Regardez, dans le temps, le chapeau de Jean-Antoine, les bottines des enfants, la coiffe de Marie-Augustine Gasq sa robe longue, noire dans le temps les personnes s'habillaient ainsi, les lampes à pétrole, les bougeoirs, les arrosoirs, les bassines en fer blanc comme l'on se servait dans le temps, les moules à gâteaux, une quantité d'objets dans ce magasin..."
========= La rue Marcel JOURNET=================
en partant de la rue Tracastel jusqu'à la rue Courte
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VENTURINI
Véritable institution à Grasse, cette boutique fondée en 1923 est le temple de la fougassette, une spécialité délicatement parfumée à la fleur d'oranger qui fait partie du patrimoine de la région. De Galiléo Venturini à ses arrière-petits-fils, les jumeaux Thierry et Cyril Mauro, c’est maintenant la quatrième génération de la famille qui propose son savoir-faire artisanal. Vous trouverez également des échaudés, une pâtisserie datant du Moyen Âge parfumée au citron, des nougats et dragées. N’oublions pas de citer la tarte à la courge, les brigidinis ou des petits biscuits secs à l’anis, sans oublier les chocolats.
La fougassette
La forme ovale qu’elle prend à Grasse et les trous représentent le visage du Christ et ses sept orifices (bouche, narines, yeux, oreilles). Comme son nom l’indique, la fougassette est une adaptation de la fougasse qui semble remonter à la seconde moitié du XIXe siècle.
La fougassette de Nice est, elle, de forme circulaire. On trouve aussi, étonnemment, de la fougassette à Orange qui intégrait dans sa composition non de l’huile d’olive, mais du beurre. Beurre qui tend d’ailleurs à être utilisé, désormais, même en régions niçoise et grassoise.
Selon la tradition, il faut rompre la fougassette à la main et ne jamais la couper si on ne veut pas être ruiné dans l'année... (Informations Frédéric Grasse)
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Les vêtements LOUBET...
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TAC-MOTIFS DES REGIONS
Librairie -éditions
26 rue Marcel Journet
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LA POISSONERIE "L'ECAILLE D'ARGENT
Documents et informations Véronique ASPE
"Ce magasin se trouvait au 30 rue Marcel Journet. Son nom était "À l'écaille d'argent" et il était tenu par Madame Marguerite Dailhau-Aspe et son compagnon Monsieur Daniel Voluzan. Elle était la seule poissonneries de Grasse à avoir un vivier où l'on pouvait observer des truites des carpes écrevisses. Tous les enfants de la vieille ville venaient devant cet "aquarium. Mes grands parents travaillaient dur dans ce magasin ; ils allaient chercher le matin, très tôt, les poissons à Cannes pour servir au mieux les clients. Ce magnifique magasin a été ouvert de 1961 à 1977.
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Photo de droite en Noir et blanc Madame Perrotino (soeur de Monsieur Venturini, Mesdames Balestra et Mauro) devant son magasin "La Ressource Ouvrière". Sur la photo en couleurs, à gauche, c'est sa fille Madame Raymond, qui tenait le tout petit magasin attenant (les deux communicants).
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16/02 - LES COMMERCES DE LA RUE GAZAN
Les télévision Truchi
17 - LES COMMERCES DE LA RUE CHARLES NEGRE
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Début Charles Nègre : Fabrique de pâtes Bottéro - Boulangerie Brunasso - Papeterie farces et attrapes Bihet - Menuiserie Benvénuti - Maroquinerie (Infos Bernard Noirot)
La Confiserie Charles Nègre
Dans les années 50 il y avait une menuiserie Rue Charles Nègre. Elle était tenue par mes oncles Jules et Pascal Benvenuti. Ils avaient fait les bancs de la cantine du Lycee Amiral de Grasse. Jules vivait place de la vieille boucherie et Pascal traverse font Laugière. Puis Pascal est retourné vivre en corse et la Menuiserie a fermé. Document Joëlle Fiorucci Riquelme -Facebook - Passé, Présent, Avenir de Grasse.
18 - LES COMMERCES DE LA RUE TRACASTEL
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Au n°1 de la rue Tracastel se trouvait en 1947, le magasin TOUSPORTS tenu par Monsieur et Madame MAGNIN. Monsieur Magnin a été de nombreuses années professeur de gymnastique au lycée Amiral de Grasse.
En 1954, cette enseigne a déménagée à la Place de la Foux pour devenir le magasin MATERNA (voir détails "Les commerces de la Place de La Foux §1)
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19 - LES COMMERCES DE LA PORTE NEUVE
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Sur cette place de la Porte Neuve se trouvaient le marchand de cycles Orengo, l'imprimerie Carestia, les graines Faraud, Gavary (téléphonie Alpes-Var-Téléphone)......
20 - LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA POISSONNERIE
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Juste avant d'arriver à la Place de la Poissonnerie
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Dans la place de la poissonnerie : à gauche en allant vers la Place aux Herbes, la droguerie Orengo, les chaussures Giordanengo, et sur la droite en arrivant sur la même place à partir de Etienne Roustan, la confection Aime.
La première braderie commerciale de Grasse en 1932. La petite ruelle qui conduit chez le serrurier et à droite sur la photo les chaussures Giordanengo
"La ménagère" se trouvait Place de la Poissonnerie, à droite de l'escalier de La Mairie, derrière "La Halle" et en face de l'Impasse. Actuellement en 2018 c'est une Brasserie qui est fermée. (Infos Laurent Anton)
21 - LES COMMERCES DE LA PLACE ETIENNE ROUSTAN ET DE LA RUE RÊVE VIEILLE
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Le marchand de vin Raybaud, la boulangerie Basso, le ferronnier Hugues, les charcutiers Tosello, le tailleur Volpi, la chapelière XXX, l'épicier XXX et le boucher Giraud. (Informations José Basso)
Maurice Goletto m'a fait parvenir cette information concernant la Place Etienne Roustan :
"En déambulant dans toutes les photos de ces blogs, il m'est revenu une information amusante concernant la boulangerie des parents Basso : Nous avions fait des recherches sur les origines grassoises de la famille de Geneviève, mon épouse. Nous étions remontés jusqu'en 1737. Il semble qu'auparavant cette famille venait de Castellane... Son Arrière Grand-Père, né autour de 1840, avait quitté notre ville vers 1860 pour Arles et ses parents, revenus à Grasse, étaient boulangers sur la place du Marché de l'époque, aujourd'hui place Etiene Roustan, la place aux Herbes n'ayant été créée que vers 1850. A moins d'un déplacement du magasin, il y a de fortes chances, compte tenu de l'exiguïté des lieux, que ce soit le même site. Le four, lui, était forcément resté à la même place... Ils habitaient au début de la Rue Tracastel, côté Rue Jean Ossola..."
La Rue Rêve Vieille ------------------------------------
22 - LES COMMERCES DE LA RUE DE LA POISSONNERIE
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LE BAZAR BOUSQUET
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Histoire d'une famille(Informations et photos de Françoise Bois Poteur)
Les Siaud, cultivateurs et colporteurs, après un siècle d'aller-retour entre le Valbonnais et Grasse et après s'être unis à une famille d'Aiguines, les Bousquet, on ouvert une boutique en 1860 au 11 rue de la Poissonnerie à Grasse, le Bazar Bousquet.
Le bazar, 40 ans après son ouverture, au 11 rue de la Poissonnerie avec sur le pas de la porte les descendants de ses fondateurs
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Peu à peu, les articles funéraires qui étaient vendus jusqu'alors, vont être remplacés par des jouets. Ils seront vendus dans les années 1950 au premier étage, au dessus du bazar. Puis, vu le succès de ce rayon dans les années 1960, ces jouets ont été transférés pour profiter de la vitrine de l'ancien magasin de bonneterie tenu au n° 9 par Madame Bimbard afin de s'exposer aux yeux des enfants.
Bien achalandé, le bazar Bousquet proposait à sa clientèle, avec un sens du commerce inégalable, toutes sortes d'articles allant du tube de dentifrice à la cafetière, en passant par des articles de papeterie ou de mercerie.
Chaque année, en décembre, des filles de clients se formaient devant les magasins pour se fournir en santons et décoration de Noël ou pour venir chercher au dernier moment les jouets réservés depuis le mois précédent.
L'été, les articles de plage étaient de sortie
Dans la boutique du n°9, des jouets du sol au plafond, sans oublier l'arrière-boutique pour stocker les gros objets
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EN 1990, les soeurs Lacaze ferment définitivement leurs commerces...
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Hors du temps ou totalement "branché rétro", la boutique "Bousquet" va fermer ses portes. Sur une époque et un art de vivre.
Dans deux mois, au maximum, le bazar Bouquet ne sera plus. Pour les nouveaux grassois, ce ne sera qu'une fermeture de plus en vieille ville. Pour les autres, les plus âgés ou ceux qui ont grandi à Grasse, c'est une page qui se tourne. Et une porte sur l'enfance qui se referme. Pour Janine et Henriette Bousquet - pardon, Lacaze - c'est l'heure de la retraite et c'est aussi "la fin d'une saga, d'un nom". Pour Grasse, c'est une mémoire qui se perd. La boutique, rue de la Poissonnerie, a vu défiler des générations de gosses qui s'écrasaient le nez sur la vitrine pour apercevoir les jouets convoités. De ménagères qui gardaient leurs "sous" pour acquérir le plat de leurs rêves. Ou qui venaient s'approvisionner en mercerie. Ou en produits de droguerie.
Une affaire de famille et de femmes
Le bazar, c'est une affaire de famille. Et de femmes. En 1860, les arrières-grands-parents des actuelles commerçantes fondaient l'affaire. Leur fille la reprenait, se deux filles après elle et maintenant les deux filles de l'une d'elles, nées comme les précédentes dans la maison. Et qui se souviennent... "Notre arrière-grand-père ne savait pas signer. Sur l'acte de vente, il a tracé une croix." Détail qui appelle un époque, comme une odeur rappelle un moment. "Le bazar s'est toujours appelé Bousquet. Pourtant c'est le nom de jeune fille de notre grand-mère. Mais le nom est resté, bien que l'affaire ait toujours été tenu par des femmes. Et par la famille. Jamais nous n'avons eu d'employés. D'ailleurs, confie en riant sous cape Henriette, nous ne l'aurions pas supporté..."
Les souvenirs affluent, le passé remonte à la surface. Et sert de point fixe pour commenter l'évolution des moeurs, de la ville. Le travail : il y a cinquante ans on sortait les jouets pour Noël et on les rentrait les fêtes terminées, jusqu'à l'année suivante. Maintenant on en vend tout le temps...". La clientèle : "il y a toujours beaucoup de grassois qui viennent acheter chez nous. Mais les gens aujourd'hui manquent de délicatesse. Ils ont parfois des phrases blessantes, du style "pour les petites choses, je sais que je trouve chez vous" ou "si vraiment je ne trouve pas ailleurs, je reviendrais : avec vous je ne me gêne pas". Heureusement il ya les fidèles : "Les familles espagnoles installées à Grasse sont d'excellents clients". La vieille ville : Beaucoup de magasins ont fermé. Avant il y avait foule dans les rues et les boutiques se suivaient. Et puis l'ambiance a changé. Il y a maintenant un climat de prudence qui n'existait pas quand tout le monde se connaissait".
Les derniers fassumiers ?
Rétro, le bazar (Janine et Henriette préfèrent de loin ce terme à celui de "droguerie" qui, pour elles, "fait trop penser à des odeurs". ? Sans doute, "mais bien dans sa peau". Si vous saviez que certaines personnes aiment venir chez nous. La boutique a un caractère, les rayonnages sont d'époque, certains articles n'ont pas changé. Alors, les jeunes des grandes ville, surtout, qui sont habitués aux grandes surfaces, adorent venir ici. Cela évoque pour eux un passé qu'ils n'ont pas connu. C'est pareil pour les gens qui ont grandi dans de petites villes mais qui n'ont plus le temps d'y flâner. Il y a quelques temps, Marie-José Nat est venue acheter des plats chez nous. Elle était ravie et nous a dit avoir retrouvé une ambiance qu'elle avait perdue...". Et bientôt qui sera perdue à Grasse. Lorsque se fermera la porte du bazar, où les touristes qui ont eu la chance d'y goûter et les vrais grassois pourront-ils se procurer le fassumier (filet à fassum) que les dames Bousquet faisaient fabriquer, à la main en trois tailles?
Pascale Primi - Nice-Matin
Informations et photos de Françoise Bois Poteur
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La droguerie Orengo, l'épicerie Amoretti, la pharmacie Rullier en face du bazar BOUSQUET
23 - LES COMMERCES DE LA PLACE AUX HERBES
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Boyer, marchand de vins, Jacquet épicerie, la boulangerie Toselli, Hans l'antiquaire, Milo les salaisons des Pyrénées et le boucher Lagorio...
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Une pharmacie historique...
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Un souvenir pour beaucoup de grassois à la place du marché : le “grand bazar Quaglia” qui vendait toutes sortes d’articles sur plusieurs étages. Une grande surface avant l'heure !!!
Un vrai "bric à brac" à l'intérieur comme à l'extérieur
24 - LES COMMERCES DU JEU DE BALLON
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Bric à brac pour la maison puis magasin de belle vaisselle et de jouets
A gauche, le fleuriste Niel dont le fils, Robert Niel a été chanteur-compositeur (Marions-les, Déshabillez-moi,Magali…) et toujours à gauche en descendant le boulevard, Les 100000 Articles, puis l'Hôtel Muraour devenu immeuble d'affaires, l'ancien théâtre devenu cinéma "Le Rex", différentes banques, les vêtements Albert Pierre devenu LLOUBET, Miam-Miam restaurant chinois et La Caisse d'Epargne en 2020. Il y avait ensuite le marchand de disque et de télévision, Francis Bertolotto dont le local a été intégré au Musée International de la Parfumerie en 2016 puis enfin avant l'Hôtel Ponteves un salon de thé avec l’excellente pâtisserie Costaz.
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A droite en descendant le boulevard, l'opticien Guigues à côté du cinéma ABC. Les Beaux livres en face de la rue du Thouron...Papin et ses accessoires autos un peu plus loin, à l'intersection de la route de Digne (information Frédéric Crépeaux)
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Sur le Jeu de Ballon les bars et restaurants étaient nombreux
A côté des escaliers du Théâtre qui permettent de rejoindre la rue des Augustin, il y a eu pendant de nombreuses années l'Auto Ecole "Charles" (Biagioli) (information Frédéric Crépeaux). Le fils Biagioli a tenu un cabinet de vétérinaire sur l'avenue Victoria)
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Une adresse incontournable pour les voyageurs et les voisins des villages qui venaient visiter les foires de Grasse : l'hôtel restaurant "Les Négociants" de la famille Hugues
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Jeu de Ballon - Une pâtisserie réputée à côté de l'Hôtel Ponteves
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A gauche "Le Grand Bazar" une adresse incontournable pour les grassois : vaisselle et jouets
Les commerces sous le Casino
La bourrellerie Galtier au Boulevard du jeu de Ballon -Photo Jean Luce fin XIXe siècle. Elle se trouvait au Jeu de Ballon, entre le passage couvert et l'actuel "Triporteur". (info Laurent Anton)
25 - LES COMMERCES DE L'AVENUE VICTOR HUGO ET DE L'AVENUE SAINTE-LORETTE
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Extrait de : http://www.grasse-historique.fr/v2/docs/quartiersaintelorette.pdf
Dans la Traverse Victor Hugo il y avait le photographe Appolot
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Dans le boulevard Victor Hugo il faut citer aussi :
En bas, au lavoir après le marchand de primeurs, il y a eu le 1er bureau des transport Arduini. À côté du marbrier il y avait un ébéniste Mr Raynaud et à côté un coiffeur Mr Lecce plus récemment le coiffeur Selvini .... Ambroise, tapisser à côté de Cristini le marbrier
(info Monsieur Crépeaux)
26 - LES COMMERCES DU BOULEVARD GAMBETTA ET DE L'AVENUE ETIENNE CAREMIL
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27 - LES COMMERCES DE QUELQUES PETITES RUES
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La rue Courte
La place de la Placette
Les Terrasses Tressemannes
D'autres
LA RUE COURTE ------------------------
LA PLACE DE LA PLACETTE ---------------------------
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LES TERRASSES TRESSEMANNES ----------------
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ET QUELQUES AUTRES ---------------------
28- LES COMMERCES DES BOULEVARDS FRAGONARD
ET CARNOT
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Boulevard Fragonard face à la Poste il y avait l'Auto-Ecole LAINE aujourd'hui disparue
29 - LES COMMERCES DU QUARTIER DES CASERNES
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30 - LES COMMERCES DU PLAN DE GRASSE
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31 - ENCORE D'AUTRES COMMERCES
Sur l'emplacement d'Auchan, route de Cannes, une succession d'enseignes : Sodial, Leclerc
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Sur la route de Cannes, plusieurs enseignes
32 - LES BRADERIES ET LES SEMAINES COMMERCIALES
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33 - QUELQUES DOCUMENTS COMMERCIAUX ANCIENS
CARTES DE VISITE
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34 - LES TEMOIGNAGES
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28 Mai 1933 - Les "boulangers-patissiers du canton de Grasse se sont réunis à Saint-Vallier pour leur repas annuel à l'occasion de la Saint-Honoré, patron des boulangers. Ce document a été aimablement transmis par Mario Margaria dont les parents étaient boulangers à la rue Droite à Grasse, dans la première moitié du XXe siècle. Un document rarissime.
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et via Facebook ou autres..
Rue droite :Bégard, Papeterie Iacomi (Mme Iacomi était ma maîtresse d’école à Carnot), le marchand de cadeaux. Le"Carillon" le magasin de vêtements pour bébé, Le roi du bleu, Venturini, Begard, Loubet
Eve Bx-Rose le vendredi, Mme Escart qui trempait la morue... Autran, le marchand d'huile, Dr Batesti., Marzoratti marchand de meubles.... Ballestra,marchand de vaisselle....Camionti, cordonnier.... j'écris au fur et à mesure qu'on me dicte.......(paroles de pur grassois)...
Maria Franca De Toscane Rue Mougins Roquefort il y avait aussi le marchand de pâtes fraiches, dont j'ai oublié le nom, le marchand de fruits et légumes. J'y achetais les jujubes dans le cornet en papier journal. Tout au bout de la rue droite, près d la place Vieille Boucherie, il y avait la boulangerie Ricord. Ce Grasse là a disparu mais il nus reste tous ces souvenirs. les légumes cetais mr et Mme salva
Laurette Squarta Ma grande mère habitait au 22 rue Amiral de Grasse, on apportait le plat à cuire chez Cassarini elle achetait une ficelle la pissaladière après un saint Marcellin chez Denery la cremerie. Elle a fait le ménage longtemps chez Mme André qui avait le magasin place aux aires le paradis du plastique. Et les edelweiss chez le pâtissier Hugues place aux aires
Josiane Arnaudo Gracieuse Ferrante Caci La papetière Busignies
Madame rosso à la poissonnerie elle vendait la volaille 😊
Evelyne Sette Cavallo Gracieuse Ferrante Caci et le tailleur Pascal en dessous de chez ma tante rue vieille boucherie et le photographe de la rue de la posta Mr Porta. Le boucher Duval, la fromagerie de la rue de l'oratoire, le pressing à côté de Jeannot la Chevaline,
Gracieuse Ferrante Caci Evelyne Sette Cavallo et tjrs rue Charles Nette il y avait Bihet et si on descend rue fe la vieille boucherie le tabac la Gitane Roméo le boulanger la grande papeterie bleue une dame gentille frisée avec des lunettes ...en face Carbone le marchand de vin ....ouffff !!!!!!
Evelyne Sette Cavallo Bottero, Brunasso, la charcuterie chez guiguite. Vigouroux. Ferrazza. Le chat botté. La bouclarde. Boulangerie Charles. Papeterie Tournier.
Anne-marie Bey Et le menuisier Cantat à côté de Busman,
Monica Grasse Gilles Rebuffo vous oubliez Guiguite Tosello charcutière à la Place Roustan si généreuse avec les enfants ,toujours un petit bout de son délicieux jambon à l’os qu’elle découpait avec son grand couteau pour leur faire plaisir ! N.B. Il y en avait à l’époque des charcuteries à Grasse !!! boutique pour la peinture Guiglaris pour descendre a la place aux herbes
Gilles Rebuffo Et la dame sur le cours qui louait vélo et chevaux à pédales et mon oncle le kiosque Venturini ... En face la boucherie Rigoli ...il y avait aussi une épicerie Mme Chiocci, Mme Rolino (bonbons)
Patrick Peter Et encore Giodanengo , Cordier, Le st Honoré, Mayor, Gomez, Priolo, Dechant, Mazzorati, Lambert, Botero, Macagno, Trenchero, Riha, Toselo, Murzone, Ferraza, Gambioti le cordonnier rue tracastel, Ernest le coiffeur, imprimerie Carestia, Pellassy, Galliano, Cuogui, Rapet, La mère Olive, Civatte, la Kermesse..
Patrick Peter Il me semble qu'il y avait aussi une cave à vin à côté de la pharmacie Ruhlier et en face une bijouterie
Maryse Rouyer Merci pour tous ces bons souvenirs (Iacomi, souvenirs rue Droite, les coopérateurs pas loin Mme Rossignol, notre irremplaçable charcutier MR Riha, j'en passe et des meilleures, pour moi le meilleur temps à Grasse, à été celui où il y a eu le Marché couvert à Jean Jaurés et le Marché aux Fleurs, PLace aux Aires, que de bons souvenirs, mais ça c'était AVANT..... AUJOURD'HUI LES GRASSOIS DOIVENT FAIRE '"AVEC" OU D' EN ALLER, QU'ELLE TRISTESSE.....Imprimerie baudena...
35 - LES PUBLICITES
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Article de Corinne JULIEN-BOTTONI, publié dans Nice-Matin
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Documents Laurent Anton
PUBLICITES DANS LE JOURNAL PAROISSIAL, LE CARILLON de Janvier 1968
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Documents Laurent Anton
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Ce blog a été réalisé par : andre.raspati@gmail.com
Avec mes plus vifs remerciements aux différentes personnes qui m'ont aidé à réaliser ce blog "Grasse-Vintage" et tout particulièrement :
- La Région PACA qui m'a aimablement autorisé à utiliser les textes et les photos publiés dans l'inventaire général du Patrimoine Culturel : https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=%22parfumerie+de+Grasse%22&type=Dossiers
- Le centre de Documentation iconographique, documentaire et historique produite par les services patrimoniaux de la DRAC PACA et réalisée par Gabriel BENALLOUL - http://patrimages.culture.fr/
- La Maison du Patrimoine de la Ville de Grasse dont la responsable Laurence ARGUEYROLLES m’a permis d’accéder à de très nombreuses informations - animation.patrimoine@ville-grasse.fr
- Les Archives Communales de la Ville de Grasse qui m'ont aidé dans mes recherches et permis d'accéder à de très nombreuses informations - http://www.ville-grasse.fr/archives_communales.html et particulièrement Mesdames BARBUSSE et HERNANDEZ
- Corinne JULIEN-BOTTONI qui m'a aimablement autorisé à publier ses articles de l'histoire de Grasse qui paraissent régulièrement dans Nice-Matin
- Robert VERLAQUE, professeur, historien, auteur d'ouvrages sur Grasse (Grasse du Moyen-Age à la Belle-Epoque, Grasse au XX ème siècle), Président du Cercle Culturel de Grasse qui m'a transmis de nombreux documents
- Alain SABATIER, photographe qui m'a autorisé à utiliser ses clichés pour illustrer mes blogs
- Toutes les personnes qui m'ont prêté leur collection de cartes postales, de photos ou de documents.
- Toutes les personnes qui publient ou qui ont publié sur les réseaux sociaux des documents ayant un lien avec mon blog
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Bibliographie
- "Contribution à la connaissance de la ville de Grasse" de Joseph FARNARIER
- "Le Pays de Grasse" de Hervé de FONTMICHEL
- "Grasse, Portrait d'une ville provençale" d'Alain SABATIER et Lucien AUNE
- "Grasse, dans les bouleversements du XXe siècle" de Robert VERLAQUE
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Si un document qui figure dans ce blog n'est pas libre de droit merci de me le signaler
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