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GRASSE VINTAGE Les photos anciennes de Grasse

Grasse-vintage -- Les commerces d'avant

Du nouveau à Grasse dans le monde de la parfumerie

             Une nouvelle approche et une mise à jour très complète dans de nombreux domaines du monde de la parfumerie industrielle vient d’être publiée sous le titre tout à fait évocateur de la magie des fleurs à parfums du Pays de Grasse toujours exceptionnelles, des techniques des industriels et de l’art de la création des parfumeurs, « La Magie d’un Terroir - Regards sur cinquante ans de parfumerie en Pays de Grasse ».

 

 

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Ce blog a été réalisé par : andre.raspati@gmail.com

Avec mes plus vifs remerciements aux différentes personnes qui m'ont aidé à réaliser ce blog "Grasse-Vintage" et tout particulièrement :

  • La Région PACA qui m'a aimablement autorisé à utiliser les textes et les photos publiés dans l'inventaire général du Patrimoine Culturel : https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=%22parfumerie+de+Grasse%22&type=Dossiers
  • Le centre de Documentation iconographique, documentaire et historique produite par les services patrimoniaux de la DRAC PACA et réalisée par Gabriel BENALLOUL -  http://patrimages.culture.fr/
  • La Maison du Patrimoine de la Ville de Grasse dont la responsable Laurence ARGUEYROLLES m’a permis d’accéder à de très nombreuses informations - animation.patrimoine@ville-grasse.fr 
  • Les Archives Communales de la Ville de Grasse qui m'ont aidé dans mes recherches et permis d'accéder à de très nombreuses informations - http://www.ville-grasse.fr/archives_communales.html   
  • Corinne JULIEN-BOTTONI qui m'a aimablement autorisé à publier ses articles de l'histoire de Grasse qui paraissent régulièrement dans Nice-Matin 
  • Robert VERLAQUE, professeur, historien, auteur d'ouvrages sur Grasse (Grasse du Moyen-Age à la Belle-Epoque, Grasse au XX ème siècle), Président du Cercle Culturel de Grasse qui m'a transmis de nombreux documents
  • Alain SABATIER, photographe qui m'a autorisé à utiliser ses clichés pour illustrer mes blogs
  • Toutes les personnes qui m'ont prêté leur collection de cartes postales, de photos ou de documents. 
  • Toutes les personnes qui publient ou qui ont publié sur les réseaux sociaux des documents ayant un lien avec mon blog

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Bibliographie

  • "Contribution à la connaissance de la ville de Grasse" de Joseph FARNARIER
  • "Le Pays de Grasse" de Hervé de FONTMICHEL
  • "Grasse, Portrait d'une ville provençale" d'Alain SABATIER et Lucien AUNE
  • "Grasse, dans les bouleversements du XXe siècle" de Robert VERLAQUE

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Si un document qui figure dans ce blog n'est pas libre de droit merci de me le signaler

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LES COMMERCES D'UNE AUTRE EPOQUE

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Photo : Vincent Saverino (avec son autorisation) que je remercie

 

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LES COMMERCES DANS L'ORDRE DE CETTE ETUDE

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1- LES COMMERCES DE L’AVENUE THIERS ET L'AVENUE VICTORIA

2- LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA FOUX

3 - LES COMMERCES DE LA RUE MAXIMIN ISNARD

4 - LES COMMERCES DE LA RUE PAUL GOBY

5 - LES COMMERCES DES QUATRE COINS

6- LES COMMERCES DE LA RUE DE L’ORATOIRE

7 - LES COMMERCES DE LA RUE DE LA FONTETTE

8 - LES COMMERCES DU THOURON

9 -LES COMMERCES DE LA RUE DES AUGUSTIN ET LA RUE DE PEYREGUIS

10- LES COMMERCES DE LA PLACE AUX AIRES

11- LES COMMERCES DE LA RUE DES FABRERIES

12 - LES COMMERCES DE LA RUE DES MOULINETS

13 - LES COMMERCES DE LA RUE AMIRAL DE GRASSE

14- LES COMMERCES AUTOUR DU COURS

15- LE COMMERCES DU SQUARE FRAGONARD

16/01 - LES COMMERCES DE LA RUE DROITE 

16/02 - LES COMMERCES DE LA RUE GAZAN

17- LES COMMERCES DE LA RUE CHARLES NEGRE

18 - LES COMMERCES DE LA RUE TRACASTEL

19 - LES COMMERCES DE LA PORTE ET PLACE NEUVE

20 - LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA POISSONNERIE

21 - LES COMMERCES DE LA PLACE ETIENNE ROUSTAN

22- LES COMMERCES DE LA RUE DE LA POISSONNERIE

23 -LES COMMERCES DE LA PLACE AUX HERBES

24- LES COMMERCES DU JEU DE BALLON

25 - LES COMMERCES DE SAINTE-LORETTE ET VICTOR HUGO

26 -LES COMMERCES DE L’AVENUE ETIENNE CAREMIL ET DU BD GAMBETTA

27- LES COMMERCES DE QUELQUES PETITES RUES

28 - LES COMMERCES DES BOULEVARDS FRAGONARD ET CARNOT

29 - LES COMMERCES DU QUARTIER DES CASERNES

30 - LES COMMERCES DU PLAN DE GRASSE DE GRASSE

31 - ENCORE D’AUTRES COMMERCES

32 - LES BRADERIES ET LES SEMAINES COMMERCIALES

33  DOCUMENTS COMMERCIAUX ANCIENS

34 - TEMOIGNAGES

35- LES PUBLICITES 

 

1 - LES COMMERCES DE L'AVENUE THIERS 

ET DE L'AVENUE VICTORIA

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Une institution grassoise

La parfumerie Terramatte

 

Photo Art Floral

 

Un peu d’histoire sur la maison Terramatte... Madame Terramatte, la maman de Francis, en 1917 donc durant la guerre, a ouvert sa boutique. Au début, la boutique se trouvait à la place de l'ancienne Caisse d'Épargne, devenue maintenant l’école des parfums. En ces temps de guerre, elle a ouvert sa boutique avec une seule botte d’œillets. Elle l'a vendue puis est retournée à Nice en a acheté deux... et voilà. Ensuite comme les fleurs n’étaient pas encore très démocratisées et les chaînes florales pas encore organisées, on expédiait des fleurs dont beaucoup d’œillets et des fruits par la poste. Le magasin s'appelait "Aux fleurs et fruits de la Riviera". Le magasin a déménagé à ce moment-là à la place de la Foux... où actuellement se trouve le jardin et la stèle de Napoléon. A la construction de l'office du Tourisme, place de la Foux, la ville a loué le local actuel, vers les années 1930... Le bail date de 1936. Francis aidait ses parents et avait aussi une entreprise de nourriture et fourrages pour les animaux aux galeries Tressemannes en association avec son beau-frère jusqu'en 1969. C'est à cette époque que le magasin a été nommé Art Floral Maison Terramatte. Francis a pris sa retraite en 1997. Le magasin avait alors été tenu par la même famille pendant 80 ans. Il a été repris pas nous en 1997. L 'atelier aux Terrasses Tressemannes a été vendu. Au départ de l'office du Tourisme nous avons pu un peu nous agrandir.

 

Texte et documents Art Floral-Grasse 

 

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Garage Engilberge, garage Rovarey, Patisserie Joubert....

 

Garage Engilberge

 

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Documents Jean-Marc LORTHOIS - Publiés sur Facebook en octobre 2018 

 

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Installé depuis 1947 à la rue Tracastel, le magasin TOUSPORTS déménage au n°1 de l'avenue Thiers.

 

 

Documents Jean Napoli

 

1958 et 1959 Exposition commerciale grande salle sous le Cours - Documents Jean Napoli
1959 Foire commerciale sur le Cours - Document Jean Napoli

 

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1960 - Tousports devient MATERNA articles pour bébés

 

Documents Jean Napoli
1964 - Exposition COMMERCIALE Camping à la Paoute - Document Jean Napoli

 

 

 

 

2 - LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA FOUX

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Le kiosque à journaux de Monsieur Luppi, la pharmacie, Maison Crousillac, Terrematte le fleuriste, le Syndicat d'Initiatives, Bonin les huiles, Sabatier le restaurant ...

 

Collection Laurent Anton

 

Document Christiane Martini - Café des grands-parents de son mari

 

Le café Bernard devenu par la suite le Cristal - Photo André Raspati

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L'Estérel

Plus récemment on y trouve le bar plus que célèbre pour toute une génération de jeunes grassois, l'Estérel... On remarque avec nostalgie les beaux platanes qui apportaient ombre et fraîcheur pendant l'été.

 

Photo Rose Mercado

Quelques témoignages : " Une institution... Oui je me souviens bien c'était exactement comme ça. J'ai bien connu l'Estérel, ce café où on se retrouvait entre copains mais c'est vrai que cet établissement avait la réputation d'être le café où se rassemblaient les snobs et les snobs à l'époque ça voulait dire enfants de riches et intellos etc...et nous y allions bien que pas du tout snobs et tout se passait bien. Très bons souvenirs d'une époque insouciante..."

 

 

---------------------->        Témoignage de Annie GARCIA, la fille de Monsieur Luppi, l'ancien propriétaire du kiosque à journaux au dessus du Thouron (Facebook-Janvier 2019) :

"Mon père a tenu le kiosque à journaux au dessus de la fontaine du Thouron pendant plus de 50 ans... A l'époque c'est moi qui gardais le kiosque plusieurs fois par jour ; on commençait à 4h30 du matin ; lui distribuait les deux journaux du matin, Nice Matin et le Patriote dans toute la Ville et l'après-midi il venait me chercher à 16h30 à l' école St Hilaire et je gardais le kiosque pendant qu'il distribuait le journal L'Espoir (journal de l'après-midi)....Même quand je me suis marié, j'aidais mon père qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige il fallait toujours faire la tournée même une fois j'ai fait celle du matin et de l'après-midi en remplacement de mon père...Mon père a commencé avec un charreton. Son patron était Mr.Perrier.  C'est lui qui a dit à mon père de se mettre à son compte moi j'allais à l'époque chez Mr Perrier qui tenait la  librairie Hachette sur le Jeu de Ballon.

 

Au dessus de la fontaine du Thouron, le kiosque de Monsieur Luppi

 

A l'époque, dans notre quartier, il y avait un rémouleur qui aiguisait les couteaux, un marchand de marron chaud qui était Mr Vannini ... il y avait aussi un marchand de glace au plus bas des escaliers ; c'était Mme Vannini et en face il y avait le marchand de vin de Maurice Gal ... C'était la belle époque...En face du kiosque il y avait le bar des Négociants tenu par Marcel Doussan. Quelques fois en nous attendant que mon père retourne au kiosque après sa tournée, il prenait le paquet de journaux qui avait été déposé sur le trottoir par le livreur ; il l'amenait dans son bar pour les vendre ou simplement pour surveiller qu'on ne nous les vole pas ce qui arrivait quelquefois. A côté du bar il y avait le magasin de peinture Constant à côté encore il y avait le magasin de souvenir l'Escarpolette... un peu plus haut, il y avait le bar La Taverne après il y avait Vilmorin, le marchand de graines et plantes ...Que de bons souvenirs ...Le kiosque de mon père était petit il y avait toujours ce platane tout proche ; maintenant le Kiosque à été à grandi mais le platane n'y est plus...Mon dieu si mon père voyait ça ...

En face du kiosque il y avait le marchand d'huile Mr Bonin et à côté il y avait le bar de l'Esterel ... tout a changé à la place du Théâtre il y avait Monoprix je travaillé 2 ou 3 jours par semaine j'étais tantôt au rayon jouets tantôt au rayon droguerie et à la Noël je restais au plus de l'escalator extérieur et je vendais les huîtres en plein courant d'air. En 1965 sous la Municipalité de Honoré Lions qui était le capitaine des Chasseurs Alpins de mon père, j'ai travaillé à la piscine Altitude 500.  J'étais au vestiaire et je donnais au clients les paniers pour qu'ils mettent leurs affaires et l'hiver je travaillais à la Mairie (j'étais enceinte de ma fille)... j'étais au service de l'État Civil et  j'ai travaillé jusqu'au soir de mon accouchement..

Voilà une partie de mon histoire mais il y aura encore des épisodes..." (Annie Garcia)


 

 

3 - LES COMMERCES DE LA RUE MAXIMIN ISNARD 

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Rue Maximin Isnard

Il y a eu pendant un certain nombre d'années, le Studio MM, studio des photographes  Jacques Mayer et Claude Moure. "Après la dissolution de leur association, Claude s'est installé boulevard du Jeu de Ballon et Jacques (d'après ce que m'en avait dit un ami commun, a déménagé dans le Var". (Informations Jacqueline Pennes Goutelle)

 

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"Sur cette photo (angle Maximin-Isnard) cette belle façade en porche sous le balcon,  abritait dans les années 1950/60 Les Docks des Matériaux et Véran & Costamagna, par la suite. Mon père y était comptable dans les années 60. Les bureaux faisaient angle et les fenêtres étaient plus petites...

Le magasin à côté était "Radio Centrale" tenu par Monsieur Besson, postes de radio et de télévision, magnétophones, tournes-disques, réparations électroniques et électriques et surtout la caverne d'Ali-Baba pour trouver tous les 33Tours vinyles à la mode dont on pouvait écouter les extraits sur le Teppaz du magasin avant de l'acheter. Le technicien de l'époque ressemblait comme deux gouttes d'eau à un Rolling Stone (Charlie Watts)"... (Informations Jean-Marie Grosso)

 

 

4 - LES COMMERCES DE LA RUE PAUL GOBY 

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Le marchand de peintures Alborni, le coiffeur Bertacchi, l'atelier du photographe Roger Porta.....

 

Photo Laurent Anton

 

Photo André Raspati

 

 

5 - LES COMMERCES DES QUATRE COINS

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LA MAISON CARLAVAN

Une institution dans ce quartier

(documents et informations Jacquie Vidal)

Une photo très ancienne le magasin Mantégues  aux 4 coins à Grasse  qui s'appelait  "Au Bon Marché"  et appartenait à Monsieur et Madame Mantégues

 

 

C'est la maison Carlavan en 1934. On la situe vu l'âge  de mes cousins et cousines. Il y a mon oncle Jacques Carlavan, ma marraine son épouse, leur fille Paulette  mon cousin Henri Boucanier, mon cousin Francis Boucanier.  Mon cousin Henri s'en rappelle ; il me dit que les commerçants se déguisaient ce jour là pour la semaine commerciale. 

(documents et informations Jacquie Vidal)

 

Le magasin Mantégues est devenu plus tard la Maison Carlavan acheté par la famille Carlavan et géré par la suite par mon oncle Jacques et ma marraine.

 

Jacques Carlavan - Document Jacquie Vidal

 

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Photo André Raspati

 

Pour aller à la rue Dominique Comte depuis la Place aux Aires

 A gauche, la droguerie COURT puis vêtements SUSANA Mme TUBIANA, puis Chaussures puis boulangerie, ensuite ??  la boutique CARLAVAN vêtements de travail pour hommes et confection, toiles diverses. En face après Magalaine, Vêtements pour Hommes, ensuite mercerie tenue par Melle Achard et Mme Guintrant puis primeurs .

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Rue Dominique Comte à l'angle de la rue de la Fontette, Boulangerie CIVATTE, ensuite LA KERMESSE disques et instruments de musique COLLINOT, remplacé par Jacky SMANIA, fromages et fruits, légumes.  Quincaillerie Bertrand et Vigouroux, remplacée par ARBEL chaussures, famille ROUQUIER ; fruits et légumes LONDI remplacé par YVES ROCHER, ensuite la boucherie ARMITANO remplacé par M.BOURSERAUT puis mercerie. Enfin le Bar/Tabacs LE FONTENOY.

En face, la boucherie PELASSY remplacée par GIRAUD ensuite un magasins de papiers peints et moquettes puis bar à vins ensuite un fleuriste puis chaussures.

 

Photos André Raspati

 

 

 

6 - LES COMMERCES DE LA RUE DE L'ORATOIRE

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Le marchand de chaussures" l'Etoile", le coiffeur Jeannot (Jeannot Depetris et avant lui, le coiffeur s’appelait Jules Torre ; Jeannot était son apprenti- infos Facebook), Grasse-copie, le poissonnier, le Grenier, la boulangerie d'Angelo, le pressing, la fromagerie, une papeterie, Madame Caroti avec ses vêtements pour enfants, un chasseur, plusieurs épiceries....il y avait un fleuriste à un moment avec des poissons et des tortues (environ 40 ans), la menuiserie Lerda, le restaurant "chez Loulou" (MMme Latta), les caves à vins Galiano...

Épicerie Mme Martini, son mari Fabio était mon premier patron ; j’avais 15ans ,on avait l’entrepôt, la petite porte à côté de l’église !!! (publié sur Facebook)

 

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Collection Laurent Anton

 

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Le bar-restaurant "La Mère Olive" avec Mario - Document privé Christiane Martini

 

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Commerce de vins
Epicerie au bas de la rue de l'Oratoire - Photo Alain Sabatier

 

1938 - Document Jean Napoli
Le même restaurant en 2018 -Document Jean Napoli

 

 

 

7 - LES COMMERCES DE LA RUE DE LA FONTETTE

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Collection Laurent Anton

 

 

8 - LES COMMERCES DU THOURON 

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... En descendant depuis la Caisse d'Epargne,...., Caprice, les produits de beauté, la pâtisserie Cappa, xxx, les vins et boissons Mme GAL, la Voute mais auparavant la boulangerie-pâtisserie Joubert, xxxx, et en face près des escaliers, le rémouleur, XXXX

Côté gauche, électricité Barbirolli et ensuite MOUTON, Charcuterie Lyonnaise Dutouquet, ensuite "Avril", la chemiserie de Mme BENNE, ensuite les fromages MAROGNIA et la droguerie Maillan qui rejoint la place aux Aires

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Le rémouleur de la rue du Thouron
Le Thouron : la “cabane” aux clefs minute et le bouquiniste - Photo Vincent Saverino

 

 

Monsieur et Madame Nestor devant leur épicerie de la rue du Thouron. Monsieur Nestor était conducteur du Funiculaire - Photo Jean Luce fin XIXe

 

La droguerie Maillan

 

La charcuterie Lyonnaise de Monsieur Dutouquet. Elle fermera ses portes en novembre 1985. La photo en haut et à gauche date de 1954.

Photos collection Madame Pascal

Photos du haut à gauche N & B : Jean PASCAL, Paul KOZAK, et Ginette. (Photo de 1952 Collection Denis Pascal)

Autres photos : Denise REBUFFEL, Lucienne PASCAL, Jean PASCAL, Cathy et Daniel BISHOP.

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Ce commerce de vins était installé à la rue du Thouron, là où il y aura plus tard la pâtisserie CAPPA 

 

 

9 - LES COMMERCES DE LA RUE DES PEYREGUIS ET DE LA RUE DES AUGUSTINS

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RUE DE PEYREGUIS

Huiles Bonin qui occupaient les anciennes écuries des grands-parents Bertacchi qui étaient à l'époque transporteurs, taxis..., l'herboristerie Escarel

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RUE DES AUGUSTINS

Collection Laurent Anton

 

"Au numéro 1 de la rue des Augustins (la maison a été récupérée pour agrandir le musée de la parfumerie) il y avait la menuiserie Pélissier et juste au dessus mon arrière-grand-mère, Maria Manaud née Icart a tenu pendant de nombreuses années, une pension de famille".

Informations Jacqueline Pennes Goutelle

A côté de Bertacchi, le marchand de pommes de terre, il y avait la boutique du tailleur Auteville qui a été remplacée en 1988 par le restaurant de Claude Grecco et son épouse, le restaurant "La Pitchounette",  ensuite l'atelier Damiano en face un entrepot qui était avant une menuiserie puis une ou deux épiceries.

 

 

 

10 - LES COMMERCES DE LA PLACE AUX AIRES

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LES COMMERCES DE LA PLACE AUX AIRES

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LA LISTE DES ANNEES 1950/1970

Et si on se faisait une balade à la place aux Aires comme si c’était il y a 50 ou 60 ans quand la place grouillait de monde, quand le marché éclaboussait de couleurs tous les jours, quand les nombreux commerçants apportaient le lien aux grassoises et aux grassois.… bref quand la place vivait intensément.

Je revois… on descendait la rue du Thouron… On se sentait aspiré par les arcades, ce magnifique trottoir piétonnier qui offrait de nombreux commerces… Le Chat botté avec des patrons et des vendeuses adorables… il y avait en permanence des étals couverts de chaussures à l’abri sous les arches… « Sous les Arcades », la belle papeterie-librairie… la boutique des vêtements Rodier qui était auparavant la boutique des caves Galliano et encore avant l’épicerie de Madame Bensa chez qui, petits, nous allions avec mes frères remplir le bidon de lait quotidien et chez qui on achetait les pâtes, le riz… uniquement en vrac à l’époque… La Maison Ballestra, vaisselle et équipement ménager, plus que célèbre grâce aux jours de foire pendant lesquels, Monsieur Ballestra faisait un numéro de marketing exceptionnel… Voici La Cannoise, une grande boucherie qui a remplacé le magasin de meubles des illustres Madame et Monsieur Marzorrati… Incroyable époque où l’on pouvait acheter des meubles à la place aux Aires !!! Maintenant et toujours sous les arcades la « Papeterie du commerce » présente depuis toujours pour tout un tas d’articles de papeterie pour les entreprises et les scolaires… Le lunetier Krys qui a remplacé la vaste teinturerie « Cinq à sec » et elle-même ayant succédé à la fameuse quincaillerie Pedemontano, disparue aujourd’hui mais concurrent pendant un certain temps de Bertrand et Vigouroux pour tout ce qui concerne le bricolage et les travaux dans la maison. Il y avait déjà à cet endroit et depuis longtemps, une quincaillerie… Quelques entrepôts de maraichers de la place occupaient ensuite d’anciennes caves ayant une ouverture sur la place… La charcuterie de la Montagne qui a connu différents propriétaire et qui vendait de nombreux produits traditionnels de qualité… Enfin nous arrivons à la dernière arche des arcades avec la boutique qui a été très longtemps la propriété de Monsieur et Madame Thomas. Ils vendaient, au début, du linge de maison de la marque réputée « Linvosges » puis se sont tournés vers le sport qu’ils associeront rapidement à la chaîne « La Hutte ». Ils quitteront les Aires pour le Jeu de Ballon en laissant leur espace à une boutique de prêt à Porter tendance, La Chiffonnerie » de Madame Mercier, belle soeur de Charles Pasqua. Il passait souvent lui rendre une petite visite. Dans les années 2000, toutes ces boutiques des arcades à l’exception de l’optique Krys, sont devenus des restaurants. On pouvait se douter qu’à l’heure du déjeuner il y aurait dispute avec les maraîchers qui n’avaient pas encore quitté la place. Mais là, c’est une autre histoire.

Nous continuons notre balade « commerçante » et quittons les arcades. Un coiffeur pour hommes  était installé dans le premier local, Monsieur Cotta…Il sera remplacé par un magasin d’optique... Ensuite, es vêtements et blouses de travail Canet qui occupaient le local commercial suivant… Beaucoup d’anciens se souviennent encore du magasin d’après, un peu bric à brac « Le Paradis du Plastique » tenu par Madame André et son neveu Jacques. On y trouvait de nombreux articles de ménage pour la maison. Ce fut auparavant, un magasin de tissus… Une boutique à double vitrine arrive ensuite, une boutique de fringues pendant très longtemps. Elle existait déjà en 1940 comme en atteste cette photo prise en pleine période de soldes. Madame Raspati et sa boutique « l’Eglantine » de sa deuxième époque lui succèdera : vêtement pour enfants, lingerie, mercerie… très appréciée après la période de la guerre 39/45… elle même remplacé par les tissus Loubet. A l’étage, sortit de la magie d’avant, le tailleur Auteville. Après le couloir d’accès à l’immeuble, un salon de coiffure pour hommes et barbier dans la petite échoppe d’après ; elle était tenue par Monsieur Raspati qui donnera sa place à Philippe Mezzeta, le créateur de la célèbre « coupe au rasoir » remplacé plus tard par différentes agences immobilières. Enfin, au bout du trottoir y eut des transporteurs, le transitaire Walke puis  une agence de voyages et enfin un magasin de vêtements « Dune ».

Le petit côté qui ferme la place et qui permet d’accéder à droite à la rue des Peyreguis et à gauche à la rue Amiral de Grasse a hébergé pendant longtemps une épicerie devenue Félix Potin suivie elle même par un magasin de son et d’images quand la télévision arrivait dans nos maisons et tenu par Monsieur Boniffassi…Ce magasin est devenu ensuite une boutique de mode… à côté, il y avait un petit magasin de jouets remplacé par une papeterie occupé ensuite par la coiffeuse Marie-Claire. On traverse la rue Amiral de Grasse régulièrement associée pour son début du moins à la place aux Aires avec le bar/tabacs/journaux La Civette tenu un moment par MMme Cyrano puis MMme Borgioli  et la Boulangerie Cassarini et sa célèbre pissaladière. On revient sur le tour des Aires en traversant la petite rue des Moulinets. On commence ce côté par la bijouterie Boucanier qui était pendant de nombreuses années le domaine de la Boucherie Inaudi ; elle disposait de son garage privé (le seul des Aires) dans le local suivant où il y avait également les frigos. Et maintenant, la pâtisserie Hugues avec ses superbes rameaux de confiserie pour la période de Pâques, ses fougassettes, ses glaces maison et qui a laissé sa place à Yves Rocher. Nous voici devant la boutique de prêt à porter de René Gilles présente pendant de très nombreuses années. Une petite échoppe maintenant où il y avait dans un temps ancien l’Eglantine du tout début là où Madame Raspati a commencé son aventure commerciale, suivie des chaussures de Monsieur Leguen et sa soeur, puis des pâtes fraîches de la famille Baudino arrivée de la rue Mougins-Roquefort et plus récemment encore, l’huilerie du domaine de La Royrie. Tout à côté il y avait dans le temps un commerce de gros de fruits et légumes tenu par la famille Ruiz ; ce commerce sera remplacé par Prénétal et ses articles pour le bébé. On continue notre chemin devant le commerce de gros tenu à une époque par Monsieur Bégoz ; il y aura ensuite dans ce grand magasin, l’Eglantine n°3 de Madame Raspati et son équipe pour la vente des collections de prêt à porter très prisées par les familles grassoises. Il nous faut traverser ensuite la rue des Fabreries pour arriver à l’ancienne pharmacie Demachy, reprise plus tard par Monsieur Liautaud avant qu’il ne déménage sa pharmacie dans la galerie marchande du Centre Leclerc. Le commerce d’à côté était dans le temps un magasin de photos de la famille Tillet où nous portions les pellicules à développer sur papier. Une grande devanture ensuite, celle de l’ancienne antenne commerciale de GDF, le Gaz De France qui recevait les clients pour régler leurs problèmes (oui c’est vrai et c’était bien à la place aux Aires !!!). GDF a déménagé et sera remplacé d’abord par les antiquités Garcia ensuite par des galeries et expositions de peinture et enfin plus récemment par la Parfumerie Molinard. Ensuite toujours dans le temps passé il y avait la petite fromagerie et crémerie Denery, très réputée aussi. N’oublions pas la belle installation du Crédit Commercial de France, le CCF dans un immense espace où clients et personnel grouillaient autour du grand guichet central. C’était la magnifique époque pour la banque de proximité dirigée de main de maître par Monsieur Collomp. L’ère HSBC a effacé cette belle image. Le local de distributeur automatique de fonds a remplacé une petite boucherie chevaline. Il y aura après d’autres commerces qui connaîtront de nombreux changements, Grasse-Copie, Agence immobilière Giovanini, l’entreprise d’électricité Commençon.  puis les vêtements pour homme de Monsieur Freinet, longtemps présent sur les Aires. La suite avec la pharmacie Leonetti puis le Bar des Aires tenu par Monsieur Michel dont la compagne tenait un étal de bonbons/biscuits sur le marché face au bar, Yvette Thiavat et Paul Funel  ont tenu le bar plus tard. Nous arrivons à la charcuterie-traiteur Cudennec qui sera remplacé par le traiteur Rolles. Voici Magalaine quand il était très mode de tricoter ; la laine laissera la place à du prêt à porter de la famille Vieillas. Traversons enfin la rue Dominique Conte pour admirer la boucherie Olivier présente au même endroit depuis de nombreuses années  à côté des tissus « Le Grand Paris ». Nous arrivons à la boutique des Arts ménagers, tout pour la table tenue par la famille Papin avant Madame Commençon. Avant les Arts Ménagers et la famille Papin, il y avait La Petite Jeannette le rêve pour ces dames. Cinq étages de vêtements issus des usines Mercier du Riou Blanquet. Au pied de l’immeuble Maximin Isnard, L’Ariel successeur du bar-tabacs de Monsieur Marcellin… Et nous voici aux Petites Aires avec la boutique de graines Bonnome, tout pour le jardin et la terrasse qui précède un magasin de brocante et d’antiquité après avoir été le magasin d’exposition de Monsieur Commençon. Enfin pour terminer notre tour il nous faut évoquer une des dernière droguerie, de Grasse, la droguerie Maillan… avant de retrouver la rue du Thouron.

(Réalisé avec le concours de Charles Cudennec)

 

Télévision Louis BONIFASSI (jusqu’à la tragique intoxication aux champignons ayant couté la vie à Louis et presque à sa fille Dominique. Leur fils Gérard, lui aussi a tragiquement disparu en août 2005, écrasé par un chariot élévateur à l’usine Citroën d’Aulnay sous Bois)

 

 

 

---------------------->       Témoignage de Laure BELUFFI (Facebook 16/01/2019) :

"Le marché place aux Aires était celui qui avait les faveurs de mes grands parents. ...La Mercerie de Madame Raspati ou l'on trouvait tout pour la couture et le premier prêt à porter ! À l'autre angle la pharmacie Demachy puis la petite crémerie Deneri. Je crois. La place avec ses bancs de légumes et aussi une petite dame qui vendait ses produits œufs quelques légumes de son jardin et des petits bouquets de fleurs sauvages : de muscaris, de roses de Noël ...la fontaine pleine de fleurs. Tout le monde se parlait c'était un lieu de rencontre incontournable même si nous habitions à la campagne !!! St Jacques !!! Et comme toutes les villes une profonde transformation s'est faite. Les photos sont des témoins qui nous gardent les souvenirs des années précédentes ..."

 

 

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Tout d'abord un souvenir que nous devons à Gilles Rebuffo, un de ses petits-fils : la Maison BALESTRA. Monsieur Balestra était un véritable "phénomène" des foires sur le Cours et dans les villages autour de Grasse. Ces foires, pour ce qui concerne celles de Grasse, étaient très animées pendant une bonne semaine à l'occasion de la Saint-Michel ou de la Saint-André. Il y avaient les manèges avec le célèbre "Mickey" que les enfants devaient attraper pour gagner un tour gratuit, les "baraques" avec du tir à la carabine pour gagner des peluches, des poupées ou des bijoux fantaisie... la "grande" piste des autos tamponneuses qui n'était pas fréquentable par tout le monde... Certains jours, le lundi en particulier c'était la "grande" foire avec des marchands de nougats ou de charcuterie italienne avec la fameuse "porchetta" qu'on ne trouvait nulle part ailleurs, les pommes rouges enrobées de caramel, les barbes à papa etc... 

Et il y avait sur les escaliers du Cours l'exceptionnel, l'unique Monsieur Balestra qui vendait la vaisselle de sa boutique de la Place Aux Aires. Il hurlait pour attirer les clients ; il avait un bagout peu commun. Et ce n'est pas tout ; pour attirer encore plus les clients il cassait, oui il cassait assez souvent de la vaisselle qui peut être était ébréchée mais il la cassait avec beaucoup de bruit et comment ne pas regarder l'artiste ; il avait un monde fou autour de lui et il hurlait et il cassait et il vendait... Un souvenir magnifique des années1950/1960...

 

Monsieur Balestra en pleine action à une foire

 

Monsieur Balestra en livrason

 

Monsieur, Madame Balestra et une de leur filles

 

Arrière de la Maison Ballestra, Rue des Peyreguis. Photo Laurent Anton

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Infos Eric Jordanoff sur Facebook 2019/08 : "1965 c'était une véritable institution a Grasse, les arts ménagers Balestra sur la place aux Aires sous les Arcades . Madame Balestra une commerçante hors pair , comme on en fait plus, et son mari qui cassait les assiettes si les gens n 'achetaient pas . Comme nous sommes entre nous voici un petit secret... les assiettes cassées avaient des défauts donc invendables...."

 

Documents Eric Jordanoff

 

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La famille de Madame Balestra est très connue à Grasse. Le frère ainé, Monsieur Venturini fabriquait, comme son père d'ailleurs, des fougassettes qu'il a longtemps vendues dans un kiosque sur la Place du Cours. Madame Mauro était marchande de vin entre le Pontet et le Marché aux Herbes. Madame Perotino vendait des vêtements au magasin de la rue Droite, "A la ressource ouvrière" et Monsieur et Madame Balestra avaient leur commerce de vaisselle sous les arcades, Place aux Aires. Ce sont les petits enfants jumeaux Mauro qui, depuis la fin des XXe et début XXIe siècle font le commerce des "véritables" fougassettes à la fleur d'oranger.     http://infos facebook

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Laurence Capoccia

Le magasin de chaussures sous les Arcades appartenait à mes parents M et Mme CAPOCCIA qui l'ont repris sous la double enseigne GEP Le Chat Botté en 1980. Ce magasin appartenait avant à Monsieur SELMES. En remontant un peu l'histoire, ce local était, il y'a fort longtemps, une tannerie comme beaucoup d'autres sur la place aux Aires que traversait le Foulon. Il est ensuite devenu une épicerie puis une huilerie dont la cave possédait encore les vestiges quand mes parents l'ont repris (de grandes amphores dans le sol). 

 

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Ci-dessous la graineterie BONNOME dans leurs anciens locaux Place aux Aires il y a quelques années entre 1955 et 1980. On y trouvait tout pour nourrir les animaux, planter dans nos jardins et ... manger de bonnes pommes de terre… Des pros, des vrais... Pierre, le père, Daniel, le fils et la famille avait aussi deux filles, Eliane et Josette (documents Daniel Olivier)

 

 

Souvenirs de mains plongées dans les sacs de graines
Document Charles Cudennec
Avec Monsieur Maillan

 

 

 

Quelques photos de la collection Charles CUDENNEC

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Les parents de Charles dans leur charcuterie

 

Sur cette photo, le fromager André HOULLIER et sa femme Jeannette au second plan avaient l'habitude de présenter les jours de marché les articles à la vente, oeufs, fromages....Leur étal était situé sur la place devant la rue du Thouron.

Ce jour là, une voiture descendait la rue du Thouron et sa conductrice a confondu la pédale d'accélérateur avec celle des freins, elle a donc perdu le contrôle du véhicule qui est venu s'encastrer dans le banc du fromager. Heureusement il n'y a eu aucun blessé mais l'omelette était "faite"...Suite à cet accident, le fromager a investi dans un camion pour remplacer le banc détruit.

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Les maraichers sur la place : 

Le fleuriste GATTI puis sa fille Rosette ensuite la fleuriste Mme MARAUD, les marchands de bonbons et gâteaux Mme Lucienne BERGONZI et donc les fromages et crémerie André et Jeanette HOULLIER

 

 

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Encore la Place aux Aires dans les années 1950/1975

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La pâtisserie Hugues avec les célèbres rameaux de fruits confits tenus par Monique Hugues et Monique Inaudi -Collection Monique Inaudi-Raynaud

 

La Boucherie Inaudi qui sera remplacée par la bijouterie Boucanier - Collection Monique Inaudi-Raynaud
Le Grand-Père Inaudi avec sa "charrette" de travail - Collection Monique Inaudi-Raynaud

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Et toujours la Place aux Aires

L'Eglantine en 3 temps  depuis le 16 juin 1937

 

1937 - Le premier magasin Eglantine

 

 

 

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"J'y allais souvent enfant, avec ma mère couturière qui y achetait les boutons, les fermetures éclair, les "tubinos" de fils pour la machine à coudre et les tissus au mètre (il s'agissait des rubans et de tout ce qui se mesurait mais pas de tissus chez ma mère) mesurés avec le mètre en bois à section carrée avec un bout en laiton, par Madame Raspati, elle-même !!.... J'étais enfant et j'avais remarqué son index qu'elle ne pliait jamais ... Un accueil très convivial, très chaleureux et une bonne odeur de tissus....Une atmosphère très "féminine" Si mes souvenirs sont bons, le seul homme de la maison était Monsieur Raspati !... Et pleins de casiers en bois avec des centaines de boutons multicolores, la vendeuse s'appelait Jackie (si je m'en souviens bien).... L'Eglantine : une institution grassoise ... Un négoce de qualité malheureusement disparu de la Place aux Aires..." (Jean-Marie GROSSO)

 

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Documents Jean Napoli

 

Document Charles Cudennec
Photo André Raspati

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LA PLACE AUX AIRES A UNE TOUTE AUTRE EPOQUE

Joëlle Riquelme a trouvé dans les Archives départementales de Grasse en 1900 que cette enseigne CHANUT au 12 place Aux Aires était un marchand de parapluies. Il y avait aussi, à cette époque, un Chanut Négociant au 11 et un Chanut qui vendait des articles de chasse à la rue des Fabreries. 

 

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LES COMMERCES DES PETITES AIRES

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Arrière de la Charcuterie Lyonnaise (Dutouquet) - Photo Laurent Anton

 

 

 

11 - LES COMMERCES DE LA RUE DES FABRERIES

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la Maison GOEPFERT  ...

Merci à Anne-Marie et Alain SABATIER qui m'ont confié deux photos en noir et blanc faites dans les années 1950 avec Madame Thérésine et Monsieur Alexandre GOEPFERT. La photo couleur, signée Alain SABATIER, date des années 1970.

Le magasin était situé de part et d’autre de la rue des Fabreries : celui des valises au n° 4 et celui des vanneries, en face au n° 5.

 

Photo Alain SABATIER

 

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Plus bas il y avait la crêperie M. LUCAS

 

12 - LES COMMERCES DE LA RUE DES MOULINETS 

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Monsieur Garnero, traducteur italien/français, expert auprès des tribunaux, père de l'avocat, torréfaction et café Le Savoureux, l’ébéniste X, le cordonnier Joachim, la menuiserie Négro,


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La rue des Moulinet au niveau de l'ancienne torréfaction - Photo André Raspati
La rue des Moulinets - Photo André Raspati

 

 

  13 - LES COMMERCES DE LA RUE AMIRAL DE GRASSE 

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Le bar tabac La Civette tenu par Denis Borgioli et bien d'autres, la famille Verdiell (pêche, armes) avant le bouquiniste Michel Teisseire, Monsieur Girard le plombier, Madame Ricord, lingerie, Monsieur Escarel, herboriste, la boulangerie Ricord puis Cassarini, l'épicerie Forestier, la coiffeuse Madame Franchi et Madame Houdain, Monsieur Papa, le ferronnier, M. Arnaud, le bijoutier, les balances Goyonne, la laverie Lefort, la pâtisserie  "Le Friand" de la famille Vignol, Oliva Mot, une lingerie, les vêtements pour hommes et Monique, bagages, sacs et toute la maroquinerie, l'assureur Monsieur Boulon.... Dans l'immeuble de Fontmichel le parfumeur Roux Galimard, le fleuriste Fleurissimo... les antiquités de Madame Armao...

 

La rue Amiral de Grasse - Photo André Raspati

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LA BOULANGERIE CASSARINI

UNE INSTITUTION

 

 

Oui une véritable institution à Grasse pour plusieurs générations avec des spécialités exceptionnelles : la pissaladière, les galettes des rois, les gressins, les "michettes".

Documents Stéphane Cassarini

 

La boulangerie Cassarini - Photos Stéphane Cassarini
Le jour de la fermeture - Photos Jean-Pierre Maurin

"J'ai mis la boulangerie Cassarini à l'honneur car quand on dit Cassarini à Grasse, on pense pissaladière dont tout le monde en a encore l'odeur dans les narines et les papilles, le pain, son odeur, les gressins... Voilà la bonne boulangerie ..."  Déclaré sur Facebook en 2019

 

 

Une petite histoire d'époque 

"A l'époque où nos cuisines n'étaient pas équipées de fours électriques, la cuisson des plats était effectuée par le boulanger. Une solution assez simple, surtout quand on habite en ville. Une dame avait demandé à ma grand-mère de cuire un plat contenant des tomates farcies et des pommes de terre. Une autre dame a confié un plat de tomates farcies en tout identique, mais dépourvu de pommes de terre. Lorsque mon grand-père (qui était le boulanger) a remis à la première cliente le plat de la seconde cette dernière a pensé (sans oser rien dire) que quelqu'un avait mangé ses pommes de terre. Ce n'est que lorsque la deuxième cliente est venue récupérer son plat, étonnement complété de pommes de terre que l'erreur fut révélée...Une situation clarifiée par la suite qui n'a pas manqué d'amuser la première cliente." (Racontée par Stéphane Cassarini)

 

 

 

 

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LE BOUQUINISTE MICHEL TEISSEIRE

qui occupe l'ancienne armurerie Verdiell

Le bouquiniste Michel Teisseire - Photo André Raspati

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LES BOUTIQUES VERDIELL

"Voici une photo de mon grand-père Baldomero Verdiell devant son magasin "Chasse et Pêche". Il créera plus tard un magasin de sport sous la franchise Sport 2000. A sa disparition ma grand-mère Germaine ,(Philomène de son vrai prénom) prendra la relève du Sport et mon père Claude s'occupera de l'armurerie ; il travaillait avec Manufrance à Saint-Etienne et continua de fabriquer lui-même la fameuse cartouche "Buffalo" aussi bien dédiée aux chasseurs qu'aux puristes amateurs de Ball Trap, activité qu'il développa au plateau Roquevignon puis au Stand des Luchous à Cabris. En face de l armurerie il y avait une vitrine dans laquelle trônait la fameuse machine à fabriquer la Buffalo quand il eu franchi Le Cap de la fabrication artisanale à la main... Il prit part aussi à la vie de Clubs sportifs tels que le Racing Club de Grasse et le Ski Club... Il a aussi fait partie de l'Association Sportive Automobile de Grasse en son temps ; il était commissaire sportif et chronométreur entre autres en 1981 et 1982 au Tour de Corse où je l avais accompagné. Un personnage haut en couleurs (et en verbe) qui fit partie au même titre que mes grands-parents ainsi que tous les commerçants du secteur au rayonnement de la vie des Grassois." 

(texte et documents de Philippe Verdiell)

 

 

 

 

Document Laurent Anton Gracia

L'ancien hôtel particulier des Durand de Sartoux d'après  Patrick Isnard

 

 

14 - LES COMMERCES AUTOUR DU COURS

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Publication Facebook

 

Sur le Cours

 

Sur le Cours

 

Au bas des escaliers du Cours - Collection André Raspati
Bouteilles Chiotasse

 

 

15 - LES COMMERCES DU SQUARE FRAGONARD 

 

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Le papa Lauzet devant le kiosque

Infos de Léonie Baud sur Facebook 2019/08 : "Avec sa cabane et ses pain bagnas l'été, ses bonnes glaces et puis avec sa camionnette il faisait toute les fêtes le père Lauzet ...." 

Beaucoup de grassois ont connu le kiosque Lauzet

 

La maman, le papa, le chien et le fiston en train de s’activer autour des marrons chauds avant le kiosque

 

Document Leonie Baud - Publié sur Facebook

 

 

Le kiosque Lauzet se trouvait sur cette petite placette située à côté de la parfumerie Fragonard

 

 

 

16/01 - LES COMMERCES DE LA RUE DROITE

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=========   la rue Jean OSSOLA   ==============

en partant des escaliers du Cours jusqu'à la rue Tracastel

 

Photo Vincent Saverino : un jour de neige en janvier 1985 à la rue Jean Ossola

 

Sur cette magnifique photo de Vincent Saverino, les anciens grassois reconnaîtront à gauche la pâtisserie du Cours et au fond, à la montée de la rue Amiral de Grasse la boutique de vêtements pour hommes Oliva-Mot ; à droite l'étude notariale et la bijouterie Nerrière.

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A droite....... Bois et charbon Isaïa avant Hernu Perron et Fragonard, un notaire Crépaux, la bijouterie Nerrière, lingerie Molinengo (le fils de Madame Molinengo Jean-Marie était journaliste à FR3), l'électricien Coco Massaglia remplacé par René Trabaud, un bar Tabac, Sophie vêtements, .... Vaisselle Daver, Madame Arnaud, chapelière remplacée par Le croissant Rose.... et en face, 

A gauche ....... Le Bar, le droguiste-coutelier, Boucherie Caille, vêtements Edith remplacé par les chaussures Giordanengo, la maroquinerie Monique, Oliva-Mott (après La Belle Jardinière), ....Boucherie Rigoli, Boulanger Margaria, la bijouterie Giraud, l'électroménager Daver.

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Une institution ...qui disparait en 2018

Fermeture définitive en décembre 2018

 

Imprimerie 8 rue Jean Ossola (bijouterie Carlier de nos jours).

 

Photos de 1910/1920 dans la rue Droite (Partie Ossola)
La rue César Ossola - Document de Christiane Martini (avec son autorisation)

 

La petite épicerie de la rue Ossola que l'on voit très bien sur ces cartes postales à côté du Tabac, a été, pendant quelques temps tenue par ma grand-mère maternelle Antoinette Manaud (qu'on a toujours appelée Angèle)

Informations Jacqueline Pennes Goutelle

=========   La rue DROITE=================

 

Rue Droite - A partir de la rue de la Fontette ---- Coté impair : charcuterie - Poseur de revêtement de sol (fondateur du rugby club de Grasse) remplacé par Radio tv Deparis  - Droguiste peintre Ernest Giuglaris - Boucherie Trinchero - Vial puis Bégard radio TV Philips - Grossiste en vins et boissons Musso, remplacé par les meubles Prélati -  Epicerie Lambert ex Capeli   -------     Coté pair : Librairie - Mercerie AVICO - Alimentation Les Coopérateurs - Bar restaurant Isaia - Vêtement "La Ressource ouvrière" Perrotino  (Informations de Bernard Noirot), le bijoutier Boucanier...

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Informations de Bernard Noirot (de l'ancien Boutique Bégard)

 

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======== Rue vieille boucherie - Alimentation Hugues - Alimentation Briatore - Boulangerie Toulonnaise Ricord Ex Torino - Papeterie Busigny ex Soutif - Auto école Paulo Foucard - Ex magasin de pâtes - Coordonnier Cappeli - Coiffeurs Isnard - Boulangerie Ferraza ex Bottero - Bar Tabac La Gitane

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========  Place Vieille Boucherie : Entrepôt de viande Giraud - Vins Garibaldi - Angle Pouost - Epicerie Giordanengo     ----     

Place Vercueuil : Ferronnier, serrurier Camatte

 

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Monsieur BUSCHMAN, le réparateur de tout article en cuir

Voilà sur la gauche une photo très ancienne publiée sur Facebook par Jacqueline Vidal en 2017. Voici ce qu'elle a écrit :  "Je ne saurais vous dire la date de cette photo ...

"Le Monsieur avec le chapeau est Jean-Antoine Boucanier, il fait partie de ma famille, il était ferblantier, il avait la boutique dans la rue droite, après la mercerie de Madame Giacone, la dame est son épouse Marie-Augustine Gasq, la jeune fille : Henriette Boucanier, mariée avec Mr Charrier, leur fille... le petit garçon, Jean-Marie Gasq, leur neveu, les autres je ne sais pas...Bien plus tard, il y a eu un cousin de ma Grand-Mère : qui a acheté cette ferblanterie Célestin Bourgarel et ensuite, Luc et Antoine Bourgarel les cousins de ma maman.

Regardez, dans le temps, le chapeau de Jean-Antoine, les bottines des enfants, la coiffe de Marie-Augustine Gasq sa robe longue, noire dans le temps les personnes s'habillaient ainsi, les lampes à pétrole, les bougeoirs, les arrosoirs, les bassines en fer blanc comme l'on se servait dans le temps, les moules à gâteaux, une quantité d'objets dans ce magasin..."

 

=========   La rue Marcel JOURNET=================

en partant de la rue Tracastel    jusqu'à la rue Courte

 

 

La "Maison" Daver, très réputée à la Rue Droite

 

 

 

Document Sauveur Schiano - Publié sur Facebook

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Photo de 1940 - A l'angle de la rue Marcel Journet et de la rue Tracastel

 

Photo Madame Isnard - 2019

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VENTURINI

 

Venturini et ses fougassettes - Photo Facebook

 

Véritable institution à Grasse, cette boutique fondée en 1923 est le temple de la fougassette, une spécialité délicatement parfumée à la fleur d'oranger qui fait partie du patrimoine de la région. De Galiléo Venturini à ses arrière-petits-fils, les jumeaux Thierry et Cyril Mauro, c’est maintenant la quatrième génération de la famille qui propose son savoir-faire artisanal. Vous trouverez également des échaudés, une pâtisserie datant du Moyen Âge parfumée au citron, des nougats et dragées. N’oublions pas de citer la tarte à la courge, les brigidinis ou des petits biscuits secs à l’anis, sans oublier les chocolats.

 

 

La fougassette

La forme ovale qu’elle prend à Grasse et les trous représentent le visage du Christ et ses sept orifices (bouche, narines, yeux, oreilles). Comme son nom l’indique, la fougassette est une adaptation de la fougasse qui semble remonter à la seconde moitié du XIXe siècle.

La fougassette de Nice est, elle, de forme circulaire. On trouve aussi, étonnemment, de la fougassette à Orange qui intégrait dans sa composition non de l’huile d’olive, mais du beurre. Beurre qui tend d’ailleurs à être utilisé, désormais, même en régions niçoise et grassoise.

Selon la tradition, il faut rompre la fougassette à la main et ne jamais la couper si on ne veut pas être ruiné dans l'année... (Informations Frédéric Grasse)

 

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Les vêtements LOUBET...

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Anciennement "Les Dames de France"

 

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TAC-MOTIFS DES REGIONS

Librairie -éditions

26 rue Marcel Journet

 

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LA POISSONERIE "L'ECAILLE D'ARGENT

Documents et informations Véronique ASPE

 

"Ce magasin se trouvait au 30 rue Marcel Journet. Son nom était "À l'écaille d'argent" et il était tenu par Madame Marguerite Dailhau-Aspe et son compagnon Monsieur Daniel Voluzan. Elle était la seule poissonneries de Grasse à avoir un vivier où l'on pouvait observer des truites des carpes écrevisses. Tous les enfants de la vieille ville venaient devant cet "aquarium. Mes grands parents travaillaient dur dans ce magasin ; ils allaient chercher le matin, très tôt, les poissons à Cannes pour servir au mieux les clients. Ce magnifique magasin a été ouvert de 1961 à 1977. 

 

Documents Véronique Aspe

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Document Viviane Raymond

Photo de droite en Noir et blanc Madame Perrotino (soeur de Monsieur Venturini, Mesdames Balestra et Mauro) devant son magasin "La Ressource Ouvrière". Sur la photo en couleurs, à gauche, c'est sa fille Madame Raymond, qui tenait le tout petit magasin attenant (les deux communicants).

Document Jean Napoli

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Coiffeur au 4 Rue de la Vieille Boucherie.

 

 

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 16/02 - LES COMMERCES DE LA RUE GAZAN

 

Les télévision Truchi

 

 

 

 

17 - LES COMMERCES DE LA RUE CHARLES NEGRE

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 Début Charles Nègre : Fabrique de pâtes Bottéro - Boulangerie Brunasso - Papeterie farces et attrapes Bihet - Menuiserie Benvénuti - Maroquinerie    (Infos Bernard Noirot)

 

La Confiserie Charles Nègre

 

Dans les années 50 il y avait une menuiserie Rue Charles Nègre. Elle était tenue par mes oncles Jules et Pascal Benvenuti. Ils avaient fait les bancs de la cantine du Lycee Amiral de Grasse. Jules vivait place de la vieille boucherie et Pascal traverse font Laugière. Puis Pascal est retourné vivre en corse et la Menuiserie a fermé.   Document Joëlle Fiorucci Riquelme -Facebook - Passé, Présent, Avenir de Grasse.

 

 

18 - LES COMMERCES DE LA RUE TRACASTEL

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Documents Jean Napoli

 

Au n°1 de la rue Tracastel se trouvait en 1947, le magasin TOUSPORTS tenu par Monsieur et Madame MAGNIN. Monsieur Magnin a été de nombreuses années professeur de gymnastique au lycée Amiral de Grasse.

 

DocumentsJean Napoli

 

1953 - Exposition de matériel de Camping au stade Jean Girard - Document Jean Napoli

 

En 1954, cette enseigne a déménagée à la Place de la Foux pour devenir le magasin MATERNA (voir détails "Les commerces de la Place de La Foux §1)

 

Le même local en 2018 - Document Jean Napoli

 

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Le cordonnier Cambiotti
Le cordonnier "Au Chat Botté" et l'Auto Ecole Piana - Photos André Raspati

 

 19 - LES COMMERCES DE LA PORTE NEUVE  

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Les "portes anciennes" de ce magasin au 8 rue de la "Porte Neuve" - Photo Laurent Anton -Magasin de Antoine Bortolini.

 

 

Sur la Place de la Porte Neuve

 

Collection Laurent Anton

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Sur cette place de la Porte Neuve se trouvaient le marchand de cycles Orengo, l'imprimerie Carestia, les graines Faraud, Gavary (téléphonie Alpes-Var-Téléphone)......

 

 

 

20 - LES COMMERCES DE LA PLACE DE LA POISSONNERIE

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Huilerie Autran - Document Jean Napoli

 

Juste avant d'arriver à la Place de la Poissonnerie

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Dans la place de la poissonnerie : à gauche en allant vers la Place aux Herbes, la droguerie Orengo, les chaussures Giordanengo, et sur la droite en arrivant sur la même place à partir de Etienne Roustan, la confection Aime.

 

Les chaussures Giordanengo

 

Volailles en tous genres

 

La première braderie commerciale de Grasse en 1932. La petite ruelle qui conduit chez le serrurier et à droite sur la photo les chaussures Giordanengo

 

Collection Jean-Marc Lorthois (Facebook) : "Ma mère (Marie-Rose Mondani) 2ème à gauche".

 

"La ménagère" se trouvait Place de la Poissonnerie, à droite de l'escalier de La Mairie, derrière "La Halle" et en face de l'Impasse. Actuellement en 2018 c'est une Brasserie qui est fermée. (Infos Laurent Anton)

 

21 - LES COMMERCES DE LA PLACE ETIENNE ROUSTAN ET DE LA RUE RÊVE VIEILLE

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Photo André Raspati

 

Le marchand de vin Raybaud, la boulangerie Basso, le ferronnier Hugues, les charcutiers Tosello, le tailleur Volpi, la chapelière XXX, l'épicier XXX et le boucher Giraud.  (Informations José Basso)

 

 

Les Basso Françoise, Félicien et José, devant la boulangerie créée en 1926 - Document José Basso

 

La famille Tosello, charcutier de la place Etienne Roustan et José Basso sur son petit cheval en bois - Document José Basso

 

Maurice Goletto m'a fait parvenir cette information concernant la Place Etienne Roustan :

"En déambulant dans toutes les photos de ces blogs, il m'est revenu une information amusante concernant la boulangerie des parents Basso : Nous avions fait des recherches sur les origines grassoises de la famille de Geneviève, mon épouse. Nous étions remontés jusqu'en 1737. Il semble qu'auparavant cette famille venait de Castellane... Son Arrière Grand-Père, né autour de  1840, avait quitté notre ville vers 1860 pour Arles et ses parents, revenus à Grasse, étaient boulangers sur la place du Marché de l'époque, aujourd'hui place Etiene Roustan, la place aux Herbes n'ayant été créée que vers 1850. A moins d'un déplacement du magasin, il y a de fortes chances, compte tenu de l'exiguïté des lieux, que ce soit le même site. Le four, lui, était forcément resté à la même place... Ils habitaient au début de la Rue Tracastel, côté Rue Jean Ossola..."

La Rue Rêve Vieille   ------------------------------------

 

 

22 - LES COMMERCES DE LA RUE DE LA POISSONNERIE

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LE BAZAR BOUSQUET

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Histoire d'une famille(Informations et photos de Françoise Bois Poteur)

Les Siaud, cultivateurs et colporteurs, après un siècle d'aller-retour entre le Valbonnais et Grasse et après s'être unis à une famille d'Aiguines, les Bousquet, on ouvert une boutique en 1860 au 11 rue de la Poissonnerie à Grasse, le Bazar Bousquet.

 

Région du Valbonnais en Isère
Le Bazar Bousquet, rue de la Poissonnerie à Grasse en 1968

 Le bazar, 40 ans après son ouverture, au 11 rue de la Poissonnerie avec sur le pas de la porte les descendants de ses fondateurs

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Peu à peu, les articles funéraires qui étaient vendus jusqu'alors, vont être remplacés par des jouets. Ils seront vendus dans les années 1950 au premier étage, au dessus du bazar. Puis, vu le succès de ce rayon dans les années 1960, ces jouets ont été transférés pour profiter de la vitrine de l'ancien magasin de bonneterie tenu au n° 9 par Madame Bimbard afin de s'exposer aux yeux des enfants.

 

 

Bien achalandé, le bazar Bousquet proposait à sa clientèle, avec un sens du commerce inégalable, toutes sortes d'articles allant du tube de dentifrice à la cafetière, en passant par des articles de papeterie ou de mercerie.

 

Chaque année, en décembre, des filles de clients se formaient devant les magasins pour se fournir en santons et décoration de Noël ou pour venir chercher au dernier moment les jouets réservés depuis le mois précédent.

L'été, les articles de plage étaient de sortie

L'été, les articles de plage étaient de sortie 

 

Dans la boutique du n°9, des jouets du sol au plafond, sans oublier l'arrière-boutique pour stocker les gros objets

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EN 1990, les soeurs Lacaze ferment définitivement leurs commerces...

 

 

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Hors du temps ou totalement "branché rétro", la boutique "Bousquet" va fermer ses portes. Sur une époque et un art de vivre.

Dans deux mois, au maximum, le bazar Bouquet ne sera plus. Pour les nouveaux grassois, ce ne sera qu'une fermeture de plus en vieille ville. Pour les autres, les plus âgés ou ceux qui ont grandi à Grasse, c'est une page qui se tourne. Et une porte sur l'enfance qui se referme. Pour Janine et Henriette Bousquet - pardon, Lacaze - c'est l'heure de la retraite et c'est aussi "la fin d'une saga, d'un nom". Pour Grasse, c'est une mémoire qui se perd. La boutique, rue de la Poissonnerie, a vu défiler des générations de gosses qui s'écrasaient le nez sur la vitrine pour apercevoir les jouets convoités. De ménagères qui gardaient leurs "sous" pour acquérir le plat de leurs rêves. Ou qui venaient s'approvisionner en mercerie. Ou en produits de droguerie.

Une affaire de famille et de femmes

Le bazar, c'est une affaire de famille. Et de femmes. En 1860, les arrières-grands-parents des actuelles commerçantes fondaient l'affaire. Leur fille la reprenait, se deux filles après elle et maintenant les deux filles de l'une d'elles, nées comme les précédentes dans la maison. Et qui se souviennent... "Notre arrière-grand-père ne savait pas signer. Sur l'acte de vente, il a tracé une croix." Détail qui appelle un époque, comme une odeur rappelle un moment. "Le bazar s'est toujours appelé Bousquet. Pourtant c'est le nom de jeune fille de notre grand-mère. Mais le nom est resté, bien que l'affaire ait toujours été tenu par des femmes. Et par la famille. Jamais nous n'avons eu d'employés. D'ailleurs, confie en riant sous cape Henriette, nous ne l'aurions pas supporté..."

Les souvenirs affluent, le passé remonte à la surface. Et sert de point fixe pour commenter l'évolution des moeurs, de la ville. Le travail : il y a cinquante ans on sortait les jouets pour Noël et on les rentrait les fêtes terminées, jusqu'à l'année suivante. Maintenant on en vend tout le temps...". La clientèle : "il y a toujours beaucoup de grassois qui viennent acheter chez nous. Mais les gens aujourd'hui manquent de délicatesse. Ils ont parfois des phrases blessantes, du style "pour les petites choses, je sais que je trouve chez vous" ou "si vraiment je ne trouve pas ailleurs, je reviendrais : avec vous je ne me gêne pas". Heureusement il ya les fidèles : "Les familles espagnoles installées à Grasse sont d'excellents clients". La vieille ville : Beaucoup de magasins ont fermé. Avant il y avait foule dans les rues et les boutiques se suivaient. Et puis l'ambiance a changé. Il y a maintenant un climat de prudence qui n'existait pas quand tout le monde se connaissait".

Les derniers fassumiers ?

Rétro, le bazar (Janine et Henriette préfèrent de loin ce terme à celui de "droguerie" qui, pour elles, "fait trop penser à des odeurs". ? Sans doute, "mais bien dans sa peau". Si vous saviez que certaines personnes aiment venir chez nous. La boutique a un caractère, les rayonnages sont d'époque, certains articles n'ont pas changé. Alors, les jeunes des grandes ville, surtout, qui sont habitués aux grandes surfaces, adorent venir ici. Cela évoque pour eux un passé qu'ils n'ont pas connu. C'est pareil pour les gens qui ont grandi dans de petites villes mais qui n'ont plus le temps d'y flâner. Il y a quelques temps, Marie-José Nat est venue acheter des plats chez nous. Elle était ravie et nous a dit avoir retrouvé une ambiance qu'elle avait perdue...". Et bientôt qui sera perdue à Grasse. Lorsque se fermera la porte du bazar, où les touristes qui ont eu la chance d'y goûter et les vrais grassois pourront-ils se procurer le fassumier (filet à fassum) que les dames Bousquet faisaient fabriquer, à la main en trois tailles?

Pascale Primi - Nice-Matin

Informations et photos de Françoise Bois Poteur

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La droguerie Orengo, l'épicerie Amoretti, la pharmacie Rullier en face du bazar BOUSQUET

 

 

 

23 - LES COMMERCES DE LA PLACE AUX HERBES

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Boyer, marchand de vins, Jacquet épicerie, la boulangerie Toselli, Hans l'antiquaire, Milo les salaisons des Pyrénées et le boucher Lagorio...

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Document Daniel Vidal - Publiée sur Facebook

Une pharmacie historique...

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Un souvenir pour beaucoup de grassois à la place du marché : le “grand bazar Quaglia” qui vendait toutes sortes d’articles sur plusieurs étages. Une grande surface avant l'heure !!!

 

Document exceptionnel proposé par Patricia Gomez avec son autorisation

 

 

 

La "patronne" à la caisse

 

 

 

 

 

Un vrai "bric à brac" à l'intérieur comme à l'extérieur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

24 - LES COMMERCES DU JEU DE BALLON

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Bric à brac pour la maison puis magasin de belle vaisselle et de jouets

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A gauche, le fleuriste Niel dont le fils, Robert Niel a été chanteur-compositeur (Marions-les, Déshabillez-moi,Magali…) et toujours à gauche en descendant le boulevard, Les 100000 Articles, puis l'Hôtel Muraour devenu immeuble d'affaires, l'ancien théâtre devenu cinéma "Le Rex", différentes banques, les vêtements Albert Pierre devenu LLOUBET, Miam-Miam restaurant chinois et La Caisse d'Epargne en 2020. Il y avait ensuite le marchand de disque et de télévision, Francis Bertolotto dont le local a été intégré au Musée International de la Parfumerie  en 2016 puis enfin avant l'Hôtel Ponteves un salon de thé avec l’excellente pâtisserie Costaz.

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A droite en descendant le boulevard, l'opticien Guigues à côté du cinéma ABC. Les Beaux livres en face de la rue du Thouron...Papin et ses accessoires autos un peu plus loin,  à l'intersection de la route de Digne (information Frédéric Crépeaux)

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La pharmacie est toujours au même endroit en ce début du XXIe siècle

 

 

A l'époque des militaires à Grasse - Document Sauveur Schiano

 

 

 

Sur le Jeu de Ballon les bars et restaurants étaient nombreux

 

Collection Laurent Anton

 

Collection Laurent Anton

A côté des escaliers du Théâtre qui permettent de rejoindre la rue des Augustin, il y a eu pendant de nombreuses années l'Auto Ecole "Charles" (Biagioli)  (information Frédéric Crépeaux).  Le fils Biagioli a tenu un cabinet de vétérinaire sur l'avenue Victoria)

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Une adresse incontournable pour les voyageurs et les voisins des villages qui venaient visiter les foires de Grasse : l'hôtel restaurant "Les Négociants" de la famille Hugues

 

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Documents Christiane Martini

 

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Photo : http://patrimages.culture.gouv.fr/ - CRMH (reproduction)

Jeu de Ballon - Une pâtisserie réputée à côté de l'Hôtel Ponteves 

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A gauche "Le Grand Bazar" une adresse incontournable pour les grassois : vaisselle et jouets

 

Les commerces sous le Casino

 

La bourrellerie Galtier au Boulevard du jeu de Ballon -Photo Jean Luce fin XIXe siècle. Elle se trouvait au Jeu de Ballon, entre le passage couvert et l'actuel "Triporteur". (info Laurent Anton)

Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Grasse-vintage -- Les commerces d'avant
Grasse-vintage -- Les commerces d'avant

 

25 - LES COMMERCES DE L'AVENUE VICTOR HUGO ET DE L'AVENUE SAINTE-LORETTE

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Extrait de  : http://www.grasse-historique.fr/v2/docs/quartiersaintelorette.pdf

 

 

 

A début de l'avenue Sainte-Lorette

 

 

Dans la Traverse Victor Hugo il y avait le photographe Appolot

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Dans le boulevard Victor Hugo il faut citer aussi :

En bas, au lavoir après le marchand de primeurs, il y a eu le 1er bureau des transport Arduini. À côté du marbrier il y avait un ébéniste Mr Raynaud et à côté un coiffeur Mr Lecce plus récemment le coiffeur Selvini .... Ambroise, tapisser à côté de Cristini le marbrier

(info Monsieur Crépeaux)

 

 

 

26 - LES COMMERCES DU BOULEVARD GAMBETTA ET DE L'AVENUE ETIENNE CAREMIL     

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Collection Laurent Anton

 

 

 

27 - LES COMMERCES DE QUELQUES PETITES RUES

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La rue Courte

La place de la Placette

Les Terrasses Tressemannes

D'autres

LA RUE COURTE  ------------------------

 

Le Taureau - Manufacture de chaussures - Photos Laurent Anton

 

 

LA PLACE DE LA PLACETTE   ---------------------------

 

 

Boulangerie Place de La Placette -Photo Laurent Anton

 

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LES TERRASSES TRESSEMANNES    ----------------

 

 

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ET QUELQUES AUTRES    ---------------------

 

 

 

 

Sans doute une banque mais où ???

 

Au Plan de Grasse - Un commerce fourre-tout

 

Sur la route de Saint-François - 1955

 

Sur la route de Peymeinade

 

Route de Pégomas, quartier de la Tourache

 

 

 

28- LES COMMERCES DES BOULEVARDS FRAGONARD

ET CARNOT

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Boulevard Fragonard face à la Poste il y avait l'Auto-Ecole LAINE aujourd'hui disparue

 

 

 

 

29 - LES COMMERCES DU QUARTIER DES CASERNES  

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Collection Laurent Anton

 

 

30 -  LES COMMERCES DU PLAN DE GRASSE    

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Collection Laurent Anton

 

 

31  - ENCORE D'AUTRES COMMERCES   

 

Sur l'emplacement d'Auchan, route de Cannes, une succession d'enseignes : Sodial, Leclerc

 

 

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Sur la route de Cannes, plusieurs enseignes

 

 

 

 

32 - LES BRADERIES ET LES SEMAINES COMMERCIALES

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33 - QUELQUES DOCUMENTS COMMERCIAUX ANCIENS

CARTES DE VISITE

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Document Jean Napoli

 

 

 

 

 

 

 

34 - LES TEMOIGNAGES

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28 Mai 1933 - Les "boulangers-patissiers du canton de Grasse se sont réunis à Saint-Vallier pour leur repas annuel à l'occasion de la Saint-Honoré, patron des boulangers. Ce document a été aimablement transmis par Mario Margaria dont les parents étaient boulangers à la rue Droite à Grasse, dans la première moitié du XXe siècle. Un document rarissime.

 

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et via Facebook ou autres..

 

Rue droite :Bégard, Papeterie Iacomi (Mme Iacomi était ma maîtresse d’école à Carnot),  le marchand de cadeaux. Le"Carillon" le magasin de vêtements pour bébé, Le roi du bleu, Venturini, Begard, Loubet

Eve Bx-Rose le vendredi, Mme Escart qui trempait la morue... Autran, le marchand d'huile, Dr Batesti., Marzoratti marchand de meubles.... Ballestra,marchand de vaisselle....Camionti, cordonnier.... j'écris au fur et à mesure qu'on me dicte.......(paroles de pur grassois)...

Maria Franca De Toscane Rue Mougins Roquefort il y avait aussi le marchand de pâtes fraiches, dont j'ai oublié le nom, le marchand de fruits et légumes. J'y achetais les jujubes dans le cornet en papier journal. Tout au bout de la rue droite, près d la place Vieille Boucherie, il y avait la boulangerie Ricord. Ce Grasse là a disparu mais il nus reste tous ces souvenirs.   les légumes cetais mr et Mme salva

Laurette Squarta Ma grande mère habitait au 22 rue Amiral de Grasse, on apportait le plat à cuire chez Cassarini elle achetait une ficelle la pissaladière après un saint Marcellin chez Denery la cremerie. Elle a fait le ménage longtemps chez Mme André qui avait le magasin place aux aires le paradis du plastique. Et les edelweiss chez le pâtissier Hugues place aux aires

Josiane Arnaudo Gracieuse Ferrante Caci La papetière Busignies  

Madame rosso à la poissonnerie elle vendait la volaille 😊

Evelyne Sette Cavallo Gracieuse Ferrante Caci et le tailleur Pascal en dessous de chez ma tante rue vieille boucherie et le photographe de la rue de la posta Mr Porta. Le boucher Duval, la fromagerie de la rue de l'oratoire, le pressing à côté de Jeannot la Chevaline,

Gracieuse Ferrante Caci Evelyne Sette Cavallo et tjrs rue Charles Nette il y avait Bihet et si on descend rue fe la vieille boucherie le tabac la Gitane Roméo le boulanger la grande papeterie bleue une dame gentille frisée avec des lunettes ...en face Carbone le marchand de vin ....ouffff !!!!!!

Evelyne Sette Cavallo Bottero, Brunasso, la charcuterie chez guiguite. Vigouroux. Ferrazza. Le chat botté. La bouclarde. Boulangerie Charles. Papeterie Tournier.

Anne-marie Bey Et le menuisier Cantat à côté de Busman, 

Monica Grasse Gilles Rebuffo vous oubliez Guiguite Tosello charcutière à la Place Roustan si généreuse avec les enfants ,toujours un petit bout de son délicieux jambon à l’os qu’elle découpait avec son grand couteau pour leur faire plaisir ! N.B. Il y en avait à l’époque des charcuteries à Grasse !!! boutique pour la peinture Guiglaris pour descendre a la place aux herbes

Gilles Rebuffo  Et la dame sur le cours qui louait vélo et chevaux à pédales et mon oncle le kiosque Venturini ... En face la boucherie Rigoli ...il y avait aussi une épicerie Mme Chiocci, Mme Rolino (bonbons)

Patrick Peter Et encore Giodanengo , Cordier, Le st Honoré, Mayor, Gomez, Priolo, Dechant, Mazzorati, Lambert, Botero, Macagno, Trenchero, Riha, Toselo, Murzone, Ferraza,  Gambioti le cordonnier rue tracastel, Ernest le coiffeur,  imprimerie Carestia, Pellassy, Galliano, Cuogui, Rapet, La mère Olive, Civatte, la Kermesse..

Patrick Peter Il me semble qu'il y avait aussi une cave à vin à côté de la pharmacie Ruhlier et en face une bijouterie

Maryse Rouyer Merci pour tous ces bons souvenirs (Iacomi, souvenirs rue Droite, les coopérateurs pas loin Mme Rossignol, notre irremplaçable charcutier MR Riha, j'en passe et des meilleures, pour moi le meilleur temps à Grasse, à été celui où il y a eu le Marché couvert à Jean Jaurés et le Marché aux Fleurs, PLace aux Aires, que de bons souvenirs, mais ça c'était AVANT..... AUJOURD'HUI LES GRASSOIS DOIVENT FAIRE '"AVEC" OU D' EN ALLER, QU'ELLE TRISTESSE.....Imprimerie baudena...

 

 

 

 

35 - LES PUBLICITES 

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Article de Corinne JULIEN-BOTTONI, publié dans Nice-Matin

 

Collection Laurent Anton

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Confiserie Joseph Nègre - Ateliers de fabrication

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Documents Laurent Anton

 

PUBLICITES DANS LE JOURNAL PAROISSIAL, LE CARILLON de Janvier 1968

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Documents Laurent Anton

 

 

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Ce blog a été réalisé par : andre.raspati@gmail.com

Avec mes plus vifs remerciements aux différentes personnes qui m'ont aidé à réaliser ce blog "Grasse-Vintage" et tout particulièrement :

  • La Région PACA qui m'a aimablement autorisé à utiliser les textes et les photos publiés dans l'inventaire général du Patrimoine Culturel : https://dossiersinventaire.regionpaca.fr/gertrude-diffusion/recherche/globale?texte=%22parfumerie+de+Grasse%22&type=Dossiers
  • Le centre de Documentation iconographique, documentaire et historique produite par les services patrimoniaux de la DRAC PACA et réalisée par Gabriel BENALLOUL -  http://patrimages.culture.fr/
  • La Maison du Patrimoine de la Ville de Grasse dont la responsable Laurence ARGUEYROLLES m’a permis d’accéder à de très nombreuses informations - animation.patrimoine@ville-grasse.fr 
  • Les Archives Communales de la Ville de Grasse qui m'ont aidé dans mes recherches et permis d'accéder à de très nombreuses informations - http://www.ville-grasse.fr/archives_communales.html   et particulièrement Mesdames  BARBUSSE et HERNANDEZ 
  • Corinne JULIEN-BOTTONI qui m'a aimablement autorisé à publier ses articles de l'histoire de Grasse qui paraissent régulièrement dans Nice-Matin 
  • Robert VERLAQUE, professeur, historien, auteur d'ouvrages sur Grasse (Grasse du Moyen-Age à la Belle-Epoque, Grasse au XX ème siècle), Président du Cercle Culturel de Grasse qui m'a transmis de nombreux documents
  • Alain SABATIER, photographe qui m'a autorisé à utiliser ses clichés pour illustrer mes blogs
  • Toutes les personnes qui m'ont prêté leur collection de cartes postales, de photos ou de documents. 
  • Toutes les personnes qui publient ou qui ont publié sur les réseaux sociaux des documents ayant un lien avec mon blog

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Bibliographie

  • "Contribution à la connaissance de la ville de Grasse" de Joseph FARNARIER
  • "Le Pays de Grasse" de Hervé de FONTMICHEL
  • "Grasse, Portrait d'une ville provençale" d'Alain SABATIER et Lucien AUNE
  • "Grasse, dans les bouleversements du XXe siècle" de Robert VERLAQUE

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Si un document qui figure dans ce blog n'est pas libre de droit merci de me le signaler

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Commentaires
L
Bravo à vous, quelle joie et souvenirs de revoir Grasse que j'ai connu à 8 ans en 1971 et où j'ai grandi ensuite... les boulangeries patisseries , fromagerie, charcuterie de la Montagne, Grasse copie et! : chez Huguette Chiappa qui avait repris la boutique de matériel pour artiste de son patron où nous envoyait notre professeur de dessin.<br /> Quelle tristesse après 15 ans d'absence de retrouver Grasse sans son marché de petits producteurs du Plan ou de Fayence, place aux Aires avec des palmiers grèles à la place de ses platanes et toutes les confiseries et les Beaux Livres où ma mère allait en tant qu'institutrice, disparus...pourquoi pas un sujet sur les collèges de Grasse (St Hilaire pour moi) et la bibli qui était vraiment pour tous.
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G
Bonjour et merci pour vos commentaires sur mon blog. Oui Grasse a beaucoup changé et nous ne pouvons pas être d'accord avec tous les changements que la ville a connus comme, en particulier le palmiers à la place des platanes. En ce qui concerne un blog sur les collèges de Grasse voici le lien pour accéder à mon approche du problème : " http://grasse-vintage.over-blog.com/2016/12/grasse-vintage-les-ecoles.html " Vous pouvez, si vous le souhaitez, me faire parvenir votre témoignage sur la bibliothèque de St Hilaire, témoignage qui peut ou pas être signé de votre nom. Vous pouvez m'envoyer votre participation à mon adresse " andre.raspati@gmail.com " et je la publierai. Cordialement
G
Que de jolis souvenirs un vrai régal merci.Je souhaiterai avoir une archive sur Mercier l école de couture .Si quelqu un aurait des souvenirs ? Lycée ? Ecole de couture ? Apprentissage ? Merci
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G
Bonjour, vous avez un témoignage dans mon livre (Témoignages tome 2) de Madame Maestrelli, ancienne responsable chez Mercier ‭06 62 40 51 25‬. Le livre est disponible dans les principales librairie de Grasse et peut être expédié. Cordialement<br /> André Raspati
Y
Vous souvenez-vous du magasin l'Artisane rue de l'Oratoire dans les années 70 ? Il y régnait une atmosphère très particulière. (encens...) C'était comme un bazar zen avec une galerie en sous-sol qui renfermait des trésors d'objets artistiques. C'était la Provence et l'Orient. Monique l'Artisane, confectionnait des patchworks.
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Y
C'était plutôt rue de la Fontette
C
Que d'émotions ! Bravo pour ce travail d'archive, remarquable ! Native de Grasse, je suis heureuse de voir que vous n'avez pas omis la boutique de Monsieur et Madame Cappoccia (Le Chat Botté) chez qui j'ai fait mon apprentissage. Un plaisir immense d'arpenter à nouveau ces ruelles de manière interactive. Les parfums comme les souvenirs refont surface ! Encore merci et bravo à vous tous !
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B
Quel plaisir de me promener dans Grasse d'hier et d’aujourd’hui, ma grand-mère résidait depuis le début des années 50 au 10 rue de moulinets, Dcd en 72, je m'y suis marié en 70, mes parents qui vivaient en Afrique ont pris leur retrait en 85 à Grasse jusqu'à la mort de mon père en 2004, ma mère ne pouvant vivre isolée, nous avons vendu cette même année, un crève-cœur, ce fut pour moi, militaire, ma base arrière toute ma vie, mon refuge mais les restrictions de circulation rendaient la vie impossible pour des personnes âgées, depuis, il me manque qq chose ......
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